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Le procédé de reconnaissance anthropométrique par les empreintes digitales est à la fois le plus ancien procédé utilisé et le mieux connu du grand public. Ce type d'analyse est éprouvé depuis déjà de nombreuses années.
Les premiers terminaux ont fait leur apparition sur le marché au début des années 1980. La probabilité de trouver deux empreintes digitales identiques est très faible, 1 sur 10 puissance 24.
Les éléments qui permettent de différencier deux empreintes digitales sont les minuties, c'est-à-dire un point qui se situe sur le changement de continuité des lignes papillaires.
Il s'agit de la technologie biométrique la plus employée à l'heure actuelle dans le monde (plus du tiers du marché). Ce succès s'explique principalement par sa robustesse et son coût relativement abordable.
Précision : certains lecteurs permettent de s'assurer que les empreintes ne sont pas des moulages conçus pour leurrer l'appareil et que les doigts sont bien irrigués par du sang
Une sécurité supplémentaire qui est également appliquée à la plupart des lecteurs biométriques analysant l'iris ou la rétine.
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