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Sommaire du dossier 35 heures

Le Cigref soucieux de la compétitivité des entreprises françaises

Le Cigref, qui regroupe la plupart des 100 premières entreprises françaises tous secteurs d'activités confondus demande aux SSII de ne pas traduire l'impact du passage aux 35 heures par une révision à la hausse des tarifs de leurs prestations. Autrement dit, le Cigref prône une augmentation zéro.
Dans un souci de compétitivité, à l'international notamment, les grandes entreprises françaises demandent le statu quo sur le prix annuel des prestations incluant la main d'oeuvre, le volume annuel des heures supplémentaires, les tarifs journaliers ou mensuels qui sont pris en compte dans les indices de revalorisation des prestations d'assistance technique.
Toutefois, le Cigref précise qu'il attend des sociétés de services informatiques que ce gel des tarifs ne se fasse pas au détriment de la qualité et n'entraîne pas de remplacement à tarifs équivalents de personnels de prestataires par d'autres moins qualifiés. Une nouvelle épine dans le pied des SSII qui ne pourront pas faire sans les 35% des budgets informatiques français que représente le Cigref. (16 décembre 1999)

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