Médias
Le SPMI fait ses premiers pas sur Internet en ".info"
Pour son nouveau site, le Syndicat de la presse magazine et d'information a opté pour une adresse en ".info". Un espace extranet y est réservé aux adhérents. --> (Jeudi 18 juillet 2002)
         
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Le Syndicat de la presse magazine et d'information (SPMI), qui représente 60 sociétés ou groupes de presse et plus de 500 titres, vient d'ouvrir son premier site web sous l'adresse Spmi.info. "Les autres extensions étant déjà prises, explique Astrid Spielrein, chargée de la communication au sein du SPMI et qui est devenue parallèlement responsable du site Web. Nous avons finalement adopté le '.info', un choix qui n'est pas totalement illogique compte tenu de notre secteur."

Le site, sobre d'un point de vue ergonomique avec une barre de navigation unique dans la colonne de gauche, comprend une partie information grand public et une partie réservée aux adhérents du syndicat, qui sera exploitée dans un espace extranet. Chaque membre disposera d'un identifiant et d'un mot de passe pour consulter des informations professionnelles: accès à des dossiers de fonds, club de réflexion, forums d'échanges métier, boîte à outils, agenda des réunions...

Le site

Le nouveau site devrait faire l'objet d'une réactualisation quotidienne. Astrid Spielrein dispose à cet effet d'une interface d'administration en ligne grâce à laquelle elle peut directement intervenir. Pour la réalisation du portail, le SPMI s'est appuyé sur Rosebud Technologies, qui a signé de nombreuses autres réalisations Internet pour le compte de titres de presse (le Point, Historia, Investir, etc.). La web-agency assure également l'hébergement qui tourne sur un serveur Linux. La base de données a été développée sur MySQL, le moteur de recherche étant, lui, estampillé Cold Fusion Verity.

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Le Syndicat de la presse magazine et d'information a travaillé pendant plus de six mois sur ce projet Internet, avec des périodes de "stand-by". Le budget dédié à la réalisation du site équivaut, selon Astrid Spielrein, à "quelque centaines de milliers de francs". Dans les mois qui viennent, le site devrait disposer d'une version anglophone et d'un système de newsletters. Parallèlement, le syndicat travaille sur l'élaboration d'un journal interne... papier. Un réflexe, sans doute.

[Philippe Guerrier, JDNet]
 
 
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