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Seuls les liens directs apportent une valeur concrète dans le référencement. Les
liens dits "indirects" n'entrent pas dans le calcul de la notoriété pour les moteurs.
En revanche, ils permettent au site de se faire connaître des internautes et participent
de cette façon à sa renommée. Trois méthodes
sont utilisées pour ne pas transmettre de valeur dans le référencement : la balise
'rel=nofollow', la balise meta 'noindex, nofollow, no archive' et enfin la mise
en place d'un lien dans un fichier de redirection.
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Ainsi, les liens publicitaires ou encore l'affiliation - sauf cas bien particuliers
- ne sont pas utiles au référencement. "Les moteurs ont choisi de ne pas tenir
compte de la popularité achetée", informe Stephane Marec. Les
blogs peuvent fournir des liens directs comme indirects. Tout dépend si les plateformes
de blogs proposent des liens en 'no follow'. Les trackbacks, les liens
en double sens échangés, restent un bon moyen de développer la popularité de son
site. "Les trackbacks favorisent la blogosphère et permettent en accroissement
- parfois même excessif - de la popularité", signale le directeur de Qualitrafic.
Les liens dans les posts ou billets sont également intéressants et travaillent
pour le référencement, "surtout si le contenu est en adéquation avec le lien et
par conséquent avec le contenu de la page de destination", détaille Jean-Michel
Le Gall. Dernier type de liens indirects : les tags. Ces marque-pages
impactent-ils le référencement ? Là encore, l'effet est indirect. Un site
comme del.icio.us indique dans leur code source la mention "noindex, nofollow,
noarchive". "Pourtant, malgré cette indication, nous avons pu remarquer que Google
prend tout de même en compte ces liens", révèle Jean-Michel Le Gall. |