La Belgique, les Pays Bas, l'Espagne, l'Italie et la France sont représentés lors de la table ronde inaugurale Antoine Crochet-Damais © Benchmark Group
 

La table ronde inaugurale a vu se confronter des acteurs publics de différents pays. Tous s'accordent à penser que le libre est gage d'indépendance vis-à-vis des éditeurs, qu'il favorise l'interopérabilité et la mutualisation des codes. Pour Jean-Claude Meunier, DSI de la Mairie de Paris, il est aussi un moyen de promouvoir les services locaux. Jan Willem Broekema, en charge du programme Open Source des Pays Bas, insiste sur la transparence qu'il apporte dans les projets publics, et Sergio Farruggia de la Mairie de Gênes (Italie) sur sa capacité à répondre à des besoins de développement spécifique.

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