De gauche à droite, Renato da Silveira Martini, président de l'institut national des technologies informatiques du Brésil, Alexandre Zapolsky, président de l'ASS2L, et Rishab Aiyer Ghosh, chercheur au sein de l'Université des Nations Unies Antoine Crochet-Damais © Benchmark Group
 

Aux côtés d'experts Open Source de différents pays européens (Allemagne, Espagne, Italie, Belgique, Angleterre, Pays Bas, etc.), Paris Capitale du Libre a également accueilli cette année des intervenants américains, brésiliens ou chinois.

"L'objectif était de donner du corps au débat et de favoriser la rencontre. C'est la nature même du libre que d'être sans frontière", commente Alexandre Zapolsky, président de l'ASS2L. Une manière aussi de renforcer les réseaux et de se serrer les coudes pour promouvoir le modèle Open Source dans un univers mondialisé.

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