"Le référencement est une science molle, personne n'ayant accès aux algorithmes.
Il est donc nécessaire de passer par des phases de tests et d'adaptation
pour arriver au fur et à mesure à une méthodologie qui tient bien la route",
indique Pascal Albericci.
A chaque fin de mois, les statistiques du site sont décortiquées, en fonctions
du nombre de pages vues, du nombre de visiteurs uniques et du taux de rebonds
- c'est-à-dire les visites où l'internaute quitte le site dès la page d'entrée.
En fonction des résultats, le responsable marketing décide de retravailler
le contenu des pages incriminées.
En plus de l'outil Google Analytics, le responsable marketing opérationnel
reçoit chaque trimestre de Visiplus l'évolution des mots clés corrélés avec
l'analyse d'audience.
"Même si 85 % du trafic vient de Google, nous ne négligeons pas pour autant
les autres moteurs de recherche", précise Pascal Albericci. Les écarts de ranking
entre les moteurs sont donc étudiés, l'art consistant à mettre son site en conformité
avec l'ensemble des critères des principaux moteurs.