- Médias. Après Salon.com (lire les brèves
du JDNet du 21/03/01), Fucked
Company sacrifie à son tour à la mode des offres payantes
en proposant un accès à l'ensemble des informations - anonymes
et autres - reçues par le site (selon l'éditeur de Fucked
Company, cela représenterait environ 400 informations par
jour alors que le site n'en publie qu'une dizaine). FC a
institué deux niveaux tarifaires, l'un à 75 dollars par
mois couvrant "les rumeurs et les commentaires" et l'autre
à 25 dollars ne comportant que les commentaires.
- Prestataires. Selon l'Industry Standard, la web-agency
Razorfish aurait enregistré la démission de trois de ses
dirigeants, dont Mike Beeston, directeur du développement
stratégique en Europe. Ces départs interviennent quelques
jours après l'annonce d'un plan de licenciements de 400
personnes, soit 20% des effectifs de la société.
- E-Commerce. AOL a signé un partenariat avec Ticketmaster
pour proposer à ses abonnés, via un nouveau service, AOL
Box Office By Ticketmaster, des tickets de concerts, des
places de cinéma, de théâtre ou d'événements sportifs. L'accord
leur donne également accés aux guides locaux de Ticketmaster.
- Entreprises. General Motors a annoncé qu'il allait
tester à Washington un système en ligne permettant aux consommateurs
de chercher un véhicule et son prix et de choisir un vendeur
en ligne. Ce test, réalisé en partenariat avec Autobytel.com
va démarrer le 1er mai et durer 90 jours.
- Emploi. Le ralentissement de l'économie américaine
a réduit le besoin de visas de travail dans le secteur de
la haute technologie, selon un rapport publié cette semaine
par les services américains de l'immigration (INS) qui indique
que les entreprises américaines ont demandé 16.000 visas
H-1B en février, soit la moitié de qui avait été demandé
en février 2000. L'année dernière à la même époque, l'INS
avait déjà rempli son quota de 115.000 visas et avait cessé
d'accepter de nouvelles demandes. Sous la pression de l'industrie
de la haute technologie, le Congrès avait même relevé le
plafond du nombre de visas à 195.000. Mais le ralentissement
de l'économie a changé les perspectives ces derniers mois,
de nombreux nouveaux immigrants qualifiés dans la haute
technologie, venant notamment d'Inde, sont aujoud'hui mis
au chômage. [AFP]
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