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Dans chaque État membre, la part de marché relative des plus gros opérateurs
(autour de 40 %), des principaux concurrents (autour de 30 %)
et des derniers arrivés (moins de 30 %) n'a pas sensiblement changé
depuis 2004, signe d'un manque de dynamisme concurrentiel du marché mobile.
L'exemple de la France est caractéristique : fin 2007, Orange conserve
sa place d'opérateur dominant avec 43,7 % de part du marché mobile en France,
son principal concurrent SFR possède près de 34 % de part de ce marché, tandis
que le troisième opérateur de réseau, Bouygues Telecom, pèse moins de 20 %.
Les opérateurs virtuels (MVNO) revendiquent pour leur part moins de 5 % du
marché.
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