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Crédit :
Gendarmerie nationale |
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Face à l'ampleur de la criminalité sur Internet,
les autorités publiques ont décidé de
rationaliser la lutte. Si la division s'est ainsi concentrée
sur la pédophilie, les affaires de contrefaçon
par exemple relèvent des douanes. Par ailleurs, une
autre unité de la gendarmerie, le département
Informatique-Electronique, a un champ d'activités plus
large. Ses 14 gendarmes travaillent sur l'équipement
informatique des suspects (matériel et logiciel), à
la recherche de preuves. S'ils reconnaissent que les cyberdélinquants
se montrent plus prudents, les gendarmes restent optimistes :
l'ensemble des traces n'est jamais effacé.
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