Intranet.
Le Crédit Agricole Provence Côte d'Azur
met en place un réseau de 250 intranets personnalisés.
Le groupe bancaire qui dispose de quelque 2000 PC connectés,
à choisi de faire appel à l'éditeur
spécialisé dans la gestion de contenu
multi-sites Noheto.
L'objectif visé par cet intranet est de créer
un site partagé dédié à
la sécurité, qui doit être capable
de rapporter de façon personnalisée l'information
en provenance des équipes de sécurité
du siège vers les utilisateurs. Chacune des 250
agences du réseau est en outre capable de modifier
le contenu de l'information de façon autonome,
tout en étant administrée depuis une console
centrale située au siège de la banque.
Linux. Prologue
Technologies lance trois applications de gestion
sous Linux. La filiale du pôle Edition de Prologue
Software présentera sur Linux Expo trois nouvelles
solutions de gestion de données : Use IT for
Oracle 8i, Use IT for informix et Use IT for Criteria.
Les deux premières découlent d'un partenariat
rapproché avec les deux concurrents Oracle et
IBM, tandis que Criteria est une SGBD développée
par Prologue. Les trois applications de BDD reposent
par ailleurs sur une architecture de clustering mise
au pint par alinka, filiale du groupe Prologue et spécialiste
des clusters de serveurs sous environnement Linux. Use
IT for Oracle est sera commercialisé à
partir de 900 euros, Use IT for Criteria à partirde
540 euros. les prix pour Informix n'ont pas encore été
communiqués.
Juridique.
Dell
invoque une utilisation non contractuelle de matériel
pour justifier le licenciement d'un technicien qui a
envoyé par erreur des images pornographiques.
Le conseil des prud'hommes de Montpellier a mis en délibéré
le cas d'un collaborateur de Dell licencié il
y a dix mois, apprend-on par l'AFP. Après avoir
envoyé par mail des images pornographiques qu'il
destinait à un ami à une directrice du
marketing de sa société aux USA, Julien
Molinier a été remercié par son
employeur. Si au mois d'avril 2001, le fabricant de
PC invoquait un "comportement contraire à
(son) code de déontologie et aux principes élémentaires
de respect de la personne", l'avocate de Dell met
aujourd'hui en avant le non respect par le jeune homme
"de ses obligations contractuelles" (sic).
C'est l'utilisation du matériel de l'entreprise
"dans un but non professionnel " durant ses
heures de travail qui serait désormais le motif
du licenciement. Le jugement du conseil des prud'hommes
est attendu pour le 24 avril prochain.
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