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SONDAGES |
L'informatique à la demande ne séduit toujours pas |
Rien n'y fait, malgré les mouvements opérés par les principaux acteurs de l'industrie, à la suite d'IBM, nos lecteurs-sondés sont bien peu nombreux à parier sur le caractère incontournable de ce mode d'usage des ressources informatiques.
(07/05/2004) |
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L'informatique à la demande...
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Le terme est partout : sur vos téléviseurs comme dans les plaquettes des grands fournisseurs. Mais, semble-t-il, ses aspects concrets peinent à se faire sentir.
En effet, pour plus d'un tiers de nos lecteurs-sondés, "l'informatique à la demande" (ou "utility computing", ou toute autre dénomination similaire désignant la possibilité de considérer la ressource informatique - puissance de calcul d'abord, mais aussi, dans une certaine mesure, l'applicatif - comme on considère, par exemple, l'électricité) ne désigne rien d'autre qu'une prestation classique d'externalisation.
A cette proportion, on doit encore ajouter les quelque 50% du total des répondants qui disqualifient la démarche en la jugeant, pour les uns comme une "mode" (avec la connotation passagère du terme), pour les autres un simple discours marketing.
Bref, il ne reste qu'à peine 16% de nos lecteurs-sondés pour faire le pari de la généralisation de cette approche qui, sans présenter de révolution technologique, impose tout de même un certain changement de point de vue sur les systèmes d'information, et s'accompagne d'outils bien réels pour contrôler les usages, et les adapter au mieux. |
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