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Licences : la sécurité doit-elle empiéter sur le respect de la vie privée
"L'éditeur d'un système d'exploitation a le droit de savoir si la version utilisée par un utilisateur est piratée"

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Alexandre Gostev
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Les systèmes intrusifs sont une pratique courante de "signature numérique" qui est indispensable dans un certain nombre de cas. Les cas Microsoft et Apple sont bien différents et n'ont rien à voir l'un avec l'autre. Je ne vois aucune raison de poursuivre Apple, de même que Microsoft dans l'affaire WGA. Qu'y a-t-il d'illégal au fait que Dashboard Advisory lance régulièrement une requête vers le site d'Apple ?

Pour ce qui est de l'affaire WGA, j'estime que la société éditrice d'un système d'exploitation a parfaitement le droit de savoir si la version utilisée par un utilisateur est piratée ou non.

Les programmes tels que Dashboard Advisory, comme je l'ai déjà souligné, sont uniquement des programmes de vérification d'authenticité d'applications et n'ont rien à voir avec les technologies antivirales.

L'analogie entre technologies antivirales et intrusives n'est pas possible. Car un programme antivirus ne peut fonctionner à l'insu de l'utilisateur. Une solution de sécurité antivirale, lors de son fonctionnement informe obligatoirement de ce qu'elle détecte et contrôle.

De même que dans les solutions pour entreprises, l'antivirus est administré sur la machine des collaborateurs de manière coercitive et prévient toute possibilité de désactiver l'antivirus par exemple. De telles mesures répondent à des exigences de sécurité basiques pour les entreprises et sont pleinement justifiées.

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