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L'opposition "white hat" / "black hat" n'est pas sans rappeler parfois la dichotomie "bien" et "mal," si chère au réalisateur américain George Lucas dans son cycle Star Wars.
Les hackers se répartissent donc dans ces deux catégories, auxquelles il faut encore ajouter les "grey hats". Toutefois, aucune barrière ne se dresse entre elles, si bien qu'un ancien pirate peut parfois se reconvertir avec succès en mettant au service des autres ses compétences. Kevin Mitnick en est sans doute l'exemple le plus médiatique.
Les cercles de hackers comptent toutefois bien d'autres personnalités telles que le finlandais Johan Helsingius (alias Julf), Mark Abene (Phiber Optik), le fondateur du groupe Masters of the Deception ou encore Robert Tappan Morris (Rtm), qui en 1988 lancera sur l'Arpanet un virus qui bloquera 10 % des ordinateurs connectés.
A ces derniers, d'autres noms peuvent encore s'ajouter, renommés soit pour leurs attaques, soit pour leur contribution au développement de la sécurité informatique : Robert Lyttle (Pimpshiz), Ehud Tenebaum (Analyzer) et Clifford Stoll.
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