Des chercheurs de l'université de Princeton et de l'Electronic Frontier
Foundation ont mis en berne la confiance des utilisateurs à l'égard des technologies
de chiffrement. Munis d'une bonbonne d'azote, ils ont pu rendre bavard la
mémoire vive d'un PC (RAM) afin de récupérer les clefs de chiffrement utilisés
pour crypter un disque dur.
Toutefois, reconnaissent les chercheurs, le hack suppose un accès physique
à la machine. Des changements de configuration sur le logiciel de chiffrement
peuvent également le freiner. Visé avec son logiciel BitLocker, Microsoft s'est
d'ailleurs empressé de le rappeler.
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