En août 5 des 8 serveurs sponsorisés par Canonical et administrés par des Local
Team (communautés d'utilisateurs) ont fait les frais d'une attaque. Ils ont dû
être déconnectés après qu'il ait été détecté qu'ils étaient eux-mêmes utilisés
pour viser d'autres serveurs.
Les développements de la distribution Linux ne figuraient pas sur ces machines
et n'ont donc nullement été corrompus. Quant aux détracteurs du libre et d'Ubuntu,
ils ne pourront critiquer que le retard pris par les administrateurs dans les
mises à jour. Un état imputable à des incompatibilités matérielles.
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