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L'importante panne de Skype a suscité bien des spéculations, et notamment celle
d'une attaque en déni de service lancée contre l'application de VoIP en P2P. Il
faut dire que la même semaine, un hacker russe avait mis une en ligne sur Internet
un PoC (proof of concept) présenté comme pouvant causer justement une interruption
de service. Encore en plein marasme, un porte-parole de Skype a néanmoins pris
son clavier pour avertir les utilisateurs que le logiciel n'avait pas été victime
d'une cyber-attaque. L'honneur reste sauf, même si ultérieurement Skype a tenté
de reporter la responsabilité sur les épaules de Microsoft. La faute finalement
à un bug applicatif.
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