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The Search Works débarque en France
La société britannique propose aux annonceurs et aux agences une gestion centralisée des liens sponsorisés sur la quasi-totalité des moteurs.   (07/07/2005)

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The Search Works propose désormais ses services en France. Après son implantation en Allemagne en avril dernier, la société britannique spécialisée dans la gestion des liens sponsorisés a décidé d'ouvrir un bureau à Paris. "Nous pensons que la France est aujourd'hui devenue un marché suffisamment mature dans le domaine du search engine marketing. Des études estiment que 250 millions d'euros sont investis dans ce marché en France chaque année", explique Nick Hynes, ancien fondateur d'Overture Europe et devenu directeur général de The Search Works. Certes la France est encore loin du milliard d'euros investis sur le marché anglo-saxon dans la gestion des mots-clefs, mais selon Nick Hynes le marché hexagonal devrait doubler en volume d'ici deux ans.

Anciennement connue sur le marché britannique sous le nom de WSPS, la société, qui a été créée en 1999, propose depuis quatre ans une suite logicielle appelée Bidbuddy Suite. Son principe : gérer et optimiser les campagnes de liens sponsorisés sur les différents moteurs de recherche. "Notre outil a été développé en partenariat avec Overture, Miva, Mirago, Webfinder.com, Google, MSN. La clé de notre succès réside dans le fait que notre technologie se connecte à tous les grands moteurs, ce qui offre aux entreprises un seul point d'entrée", détaille le directeur général.

Disponible en mode hébergé, la suite Bidbuddy comprend différents modules, tels que Bidbuddy PPC, Bidbuddy ROI et Bidbuddy CPA. Comme leur nom l'indique, ces modules permettent à l'entreprise utilisatrice de gérer le processus de Pay per Click (depuis la recherche de mots-clés jusqu'au tracking des résultats de la recherche), de gérer automatiquement les enchères et d'obtenir un tableau de performance en temps réel pour un mot-clé donné. Cette suite logicielle permet également d'évaluer le coût et l'exécution de chaque campagne, d'analyser le coût par acquisition (CPA) et de réaliser des analyses des comportements des consommateurs.

A la différence de l'américain DoubleClick, the Search Works vise une clientèle de très grands annonceurs, d'agences de marketing ou de communication interactive, investissant un budget de plus de 25.000 euros par mois. A partir d'une certaine volumétrie, il n'est plus possible de gérer manuellement ses mots-clés, sans se tourner vers une solution logicielle. Le coeur de cible pour l'éditeur britannique. "A titre d'exemple, une agence qui gère 50 clients dont chacun achète 100 mots-clés et dont la gestion doit être réalisée heure par heure, cela devient très vite ingérable", explique Ben Gibson, directeur grands comptes, en charge du bureau français. The Search Works dispose déjà de références paneuropéennes, telles que Opodo, Hertz ou Ciblo.net en France.

L'éditeur se montre plutôt discret sur les tarifs proposés. "Nous ne pouvons pas donner de montant précis, affirme Nick Hynes. Le montant varie en fonction du budget et du nombre de clients que gère l'agence. Mais nous ne mettons pas limite en fonction du nombre d'utilisateurs ou des mots-clés." L'offre comprend l'utilisation de l'outil, mais également l'ensemble des services associés, à savoir le paramétrage de la solution en fonction de la stratégie de l'entreprise, la mise en place du tracking (ou l'adaptation du module de ROI au système de tracking existant dans l'entreprise), la formation des utilisateurs, l'apport de nouvelles fonctionnalités, le support par e-mail et par téléphone. L'interface de l'outil a été traduite en français et l'outil adapté aux particularités de la langue, avec notamment la gestion des accents et des caractères linguistiques spécifiques, ce qui est primordial pour un outil de gestion de mots-clés.

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The Search Works, qui emploie 55 salariés et qui a connu une progression de son chiffre d'affaires de 400 % entre 200 et 2004, table de nouveau sur une même croissance de 400 % pour l'année 2005. "Notre objectif est celui d'être le premier éditeur sur le marché du search marketing et nous ambitionnons une part de marché en France de l'ordre de 33 %". Des projets qui ne s'arrêtent pas à l'Europe avec la volonté à moyen terme d'ouvrir des bureaux au Japon et en Corée et de se positionner également, à plus long terme, sur le marché de la recherche sur mobile dont la croissance est très forte en Asie.

 
 
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