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Un colis renvoyé par
un client Cécile Genest © Journal du Net | |
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Ces précautions s'expliquent
en grande partie par le modèle économique de Sarenza. Inspiré
de l'américain Zappos, qui affichait en 2006 un chiffre d'affaires de 597 millions
de dollars, le e-marchand veut pallier la difficulté évidente de
vendre des chaussures à distance.
Pour cela, il prend en charge le retour des chaussures qui ne conviennent pas.
Dans ces conditions, une erreur dans l'envoi des articles mécontente le
client, mais relève aussi du risque financier. |