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Module d'envoi d'un SMS de promotion depuis une page
Web sur le Site Yves Rocher, dans le cadre de la campagne Luminelle Axe Tendance
© Ocito / Yves Rocher
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Les principaux retours quantitatifs de cette campagne sont :
» Le MMS et le SMS ont une efficacité
comparable, rentable en termes de ratio coût-taux de transformation (achats
en magasins).
» La campagne Wap push (SMS
avec lien cliquable) a déclenché un taux d'ouverture de 10 %, soit
3.000 visiteurs uniques sur le site Internet mobile et un taux de retour (achat
en magasins) deux fois plus important que le SMS.
» Un millier de SMS a été envoyé
depuis le site Web, dont 20 % de taux de transformation ;
ce taux atteint 70 % pour le site Internet mobile (une centaine de
SMS envoyée depuis le site Wap).
» Le taux de désinscription est
inférieur à 2 %.
"Cette campagne a montré que le mobile est un média réactif qui
permet à la fois de créer du ROI mais aussi de contribuer aux valeurs
de la marque", estime Benoît Corbin, PDG d'Ocito.
"Nous sommes très satisfaits des résultats de cette opération qui prouve l'efficacité
du SMS comme soutien du chiffre d'affaires généré en magasins et des mécaniques
de viralité pour le recrutement de nouvelles clientes, indique Pierre-Yves
Morvan, responsable du système fidélité et du marketing téléphonique chez Yves
Rocher. A l'avenir, nous ferons certainement plus de promotion, de relais
média pour générer du trafic sur le site Internet mobile."
Des résultats encourageants, donc, pour Yves Rocher, qui souhaite pérenniser
l'utilisation du mobile dans ses campagnes de recrutement et de fidélisation,
en renouvelant ce type d'opérations ponctuelles pour les lancements de produits.
La marque entend également développer une série de services mobiles (localisation
de magasins, l'envoi d'informations personnalisées par SMS aux porteuses de la
carte de fidélité, etc.).
"Même si elle n'est pas conséquente, il existe désormais une ligne de budget
dédiée au mobile dans le budget de communication 2008 d'Yves Rocher. Le mobile
va monter en puissance selon ses résultats", conclut Pierre-Yves Morvan.
