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© JDN / CDA
Pourquoi, en 2002, la Compagnie des Alpes, exploitant de stations de ski, s'est-elle
subitement investie dans le rachat de parcs de loisirs ? Simple, répond en substance
Eric Guilpart, c'était son unique moyen de poursuivre sa croissance. "Nous
nous posions la question des relais de croissance depuis la fin des années 90",
explique le directeur marketing.
A l'époque, vu la maturité du marché, seule une diversification des activités
s'impose. Trois options se présentent : l'international ("très lent et difficile"),
une activité commerciale sur les stations ("nous avons possédé 50 magasins de
ski de 2000 à 2004") et enfin la transposition de son savoir-faire dans un autre
métier. C'est cette dernière option qui a été retenue, facilitée par l'actionnaire
principal. La Caisse des dépôts était en effet actionnaire de Grévin & Cie, premier
achat dans le secteur des parcs de loisirs de la CDA.
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