Sondages
Veille techno: on n'est jamais si bien servi que par soi-même
Plus de 50% des lecteurs sondés pratiquent un minimum de veille, tandis qu'un quart s'y consacre à plein temps. Mais l'activité n'est que très rarement laissée aux prestataires. (Mercredi 9 octobre 2002)
     
La veille technologique...
50.4% (61 votes)
un minimum parce que c'est nécessaire
23.9% (29 votes)
le plus nouveau n'est pas toujours le meilleur
23.1% (28 votes)
l'essentiel de mon temps
2.4% (3 votes)
je laisse ça aux prestataires

Total votes: 121


Près d'un quart de nos lecteurs-sondés consacrent l'essentiel de leur temps à l'activité de veille: un chiffre qui vient prouver - si besoin en était - que malgré une certaine méfiance ambiante vis à vis de technologies dont les applications opérationnelles paraissent lointaines - ne serait-ce que pour des raisons financières, mais aussi (de manière plus problématique) à cause d'une relative déconnexion avec les besoins réels des utilisateurs - les entreprises dédient des postes d'observation des évolutions technologiques. A cela plusieurs raisons: de concurrence pour les fournisseurs, de pouvoir de négociation pour les utilisateurs, d'opportunités à saisir pour tous.
De fait, plus de la moitié des répondants ne négligent pas la veille, bien qu'ils n'y consacrent qu'une faible partie de leur temps, tandis que seuls 2,4% d'entre eux préfèrent décharger entièrement ce type d'activité sur les prestataires.
Enfin, un peu moins d'un quart de nos lecteurs-sondés viennent rappeller que la veille ne doit pas aboutir automatiquement à l'implantation des technologies les plus récentes, qui ne sont par nature ni les plus mûres, ni les plus adoptées.
[Rédaction, JDNet]
 
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