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Sondages |
Veille
techno: on n'est jamais si bien servi que par soi-même |
Plus de 50% des lecteurs sondés pratiquent un minimum de veille, tandis qu'un quart s'y consacre à plein temps. Mais l'activité n'est que très rarement laissée aux prestataires. (Mercredi
9 octobre 2002) |
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La
veille technologique...
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Près
d'un quart de nos lecteurs-sondés consacrent l'essentiel
de leur temps à l'activité de veille: un
chiffre qui vient prouver - si besoin en était
- que malgré une certaine méfiance ambiante
vis à vis de technologies dont les applications
opérationnelles paraissent lointaines - ne serait-ce
que pour des raisons financières, mais aussi (de
manière plus problématique) à cause
d'une relative déconnexion avec les besoins réels
des utilisateurs - les entreprises dédient des
postes d'observation des évolutions technologiques.
A cela plusieurs raisons: de concurrence pour les fournisseurs,
de pouvoir de négociation pour les utilisateurs,
d'opportunités à saisir pour tous.
De fait, plus de la moitié des répondants
ne négligent pas la veille, bien qu'ils n'y consacrent
qu'une faible partie de leur temps, tandis que seuls 2,4%
d'entre eux préfèrent décharger entièrement
ce type d'activité sur les prestataires.
Enfin, un peu moins d'un quart de nos lecteurs-sondés
viennent rappeller que la veille ne doit pas aboutir automatiquement
à l'implantation des technologies les plus récentes,
qui ne sont par nature ni les plus mûres, ni les
plus adoptées.
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