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Le Commissariat à l'Energie
Atomique (CEA) souhaitait refondre le site de sa Direction
des Sciences du Vivant (DSV) afin que les utilisateurs
ne se contentent plus d'une démarche consultative
du contenu, mais contribuent directement à sa gestion.
Solution adoptée: la plate-forme de gestion de
contenu Cofax, développée en open source
et en Java par Smile.
Après neuf mois
d'implémentation, entre novembre 2001 et juin
2002, Nathalie Manaud, maître d'oeuvre du projet au
CEA-DSV, s'estime satisfaite du résultat. L'objectif,
qui consistait à refondre complètement
le site Web de la DSV, a été selon elle
atteint à 100%.
Changer
les habitudes en douceur
Il
s'agissait donc de passer d'un site de consultation pure
à un site de contribution, afin que tous les chercheurs
- du CEA et d'autres organismes concernés (comme
le CNRS ou des universités) - puissent publier
eux-mêmes le résultat de leur travail. Le
tout devait être agrémenté d'un procédure
de validation de ces textes.
Principale particularité
de la demande: la nouvelle solution devait changer les
habitudes des utilisateurs du site sans exiger de leur
part de plus amples connaissances informatiques. Elle
ne devait pas non plus être tributaire des systèmes
hétérogènes sur lesquels ces chercheurs
travaillent, à différents endroits de
la France.
"Après avoir
affectué une recherche sur le marché,
nous nous sommes rendus compte que Smile était
quasiment le seul produit qui correspondait à
nos besoins. C'était une des rares offres qui
fonctionnait sur Mac, ce qui était primordial
pour nous", confie Stéphanie Manaud.
Des
exigences précises
Outre l'exigence d'un workflow
de validation, pour faire remonter les articles des
chercheurs dans la hiérarchie de la DSV, l'organisme
émanant du CEA voulait également pouvoir
faire de la mise en page en ligne sur les articles.
La solution ? "Nous
avons cherché longtemps avant de trouver EditOnPro.
Cette applet Java est l'une des rares à pouvoir
fonctionner aussi sur des Mac, car elle n'utilise pas
ActiveX", raconte Patrice Bertrand, Directeur des
Opérations de Smile. "Il s'agit en fait
d'un 'petit Dreamweaver', sans le coût de licence
et l'obligation de l'installer sur chaque poste".
Autre particularité
du site de la DSV, le serveur de production se trouve
dans une zone démilitarisée (DMZ), ce
qui n'est pas le cas du serveur de contribution sur
Intranet. La DSV souhaitait une base de données
(SQL) unique. C'est l'une des fonctionnalités
qu'offre Cofax.
Mise
en place sans heurt
Pour mettre en place son
produit, Smile a formé les informaticiens du
CEA sur place, afin de leur donner une certaine autonomie
de contrôle sur la solution. Stéphanie
Manaud, après une formation spécifique,
a notamment servi de relai d'information sur l'utilisation
du logiciel auprès des autres utilisateurs.
Côté Smile,
l'implémentation a duré 3 mois, en comptant
les phases de développement et de design. Six
mois ont par ailleurs été nécessaires
pour le chargement des contenus. Le site de la DSV compte
750 pages uniques.
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Une nouvelle version, déjà
installée et effective très prochainement,
entend corriger les défauts mineurs qui subsistent.
Créant un site miroir pour l'utilisateur, cette
dernière permettra de surcroît à
l'utilisateur de visualiser son article pendant qu'il
est en attente de validation.
Stéphanie Manaud n'apporte
qu'un petit bémol sur le déroulement du
projet dans ses premières phases: "Je ne connaissais
pas assez le produit. Du coup, les demandes évoluaient
au fur et à mesure que mes connaissances s'affinaient.
Les besoins auraient peut-être demandés à
être mieux définis".
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