Spécialisé dans la distribution électrique et les automatismes, le groupe Schneider Electric entreprend la refonte de son site institutionnel en juillet 2004.
Les principaux besoins exprimés sont alors au nombre de trois : mesurer les performances du site, mieux connaître ses cibles pour adapter les contenus, et faire un travail de veille.
"Pour la mesure des performances, nous ne pouvions - à partir des statistiques et des mails entrants - déduire que des interprétations. Les actions correctives que nous faisions n'étaient basées que sur des hypothèses. Il nous fallait donc des informations plus fiables. Concernant nos cibles - finance, presse, RH -, nous nous sommes aperçus que nous les connaissions très peu. Côté veille, nous voulions nous comparer à d'autres sites institutionnels", commente Sandrine Zapata, chef de projet Web à la direction de la communication groupe de Schneider Electric, en charge du site institutionnel.
Pour parvenir à ses fins, Sandrine Zapata se met en recherche de sociétés proposant des enquêtes en ligne. Elle s'oriente rapidement vers l'éditeur Crmmetrix. "Les autres acteurs du marché ne proposent le plus souvent que des enquêtes ponctuelles, alors que Crmmetrix propose des enquêtes en continu via le baromètre e-corporate. Un autre élément différenciateur à été la possibilité de se comparer aux autres sites du panel, sachant qu'une bonne partie des sociétés du CAC 40 y sont", ajoute la chef de projet Web.
"Nos visiteurs nous ont dit que nous étions dans la bonne direction"
(Schneider Electric)
|
Le déploiement a été réalisé rapidement car, suite à la mise en ligne de la nouvelle version du site institutionnel, Schneider Electric voulait réaliser une enquête rapidement. La seule contrainte technique a été - après l'avoir mise à la charte graphique de Schneider Electric - d'héberger une page sur les serveurs de l'entreprise, toutes les données et flux étant directement gérés par les serveurs de l'éditeur.
"Nous n'avions jamais procédé à une enquête auparavant, le précédent site datant de 1999. Les retours de nos visiteurs ont été très positifs : ils étaient satisfaits du site et nous disaient que nous étions dans la bonne direction. Nous pouvions désormais mieux cibler nos actions de communication", complète Sandrine Zapata.
Suite à cette première enquête, plusieurs axes de travail ont été dégagés. Tout d'abord, les contenus des intranets du groupe doivent être revisités, certaines personnes du groupe préférant se rendre sur le site institutionnel plutôt que d'aller y chercher l'information. Une surprise, l'actualité étant par exemple systématiquement publiée d'abord dans l'intranet et seulement ensuite sur le site en ".com".
Mieux diriger les clients et prospects vers les sites pays |
Ensuite, il a été décidé de mieux diriger les visiteurs - notamment les clients et prospects qui venaient chercher de l'information produit - vers les 60 sites Internet pays accessibles depuis le site institutionnel. "Nous avons en effet compris, grâce au baromètre, que ce n'était pas bien compris. Sur la page de notre site consacrée aux produits et services, nous avons ajouté un petit texte explicatif pour que les clients et prospects comprennent mieux la logique de navigation", note Sandrine Zapata.
Le tarif est de 13 500 euros HT par an, il comprend la mise à disposition du questionnaire et de l'interface, ainsi que l'a remise d'un bilan trimestriel accompagné de recommandations.
Le projet en bref
|
Société
|
Schneider Electric
|
Siège social
|
Rueil Malmaison
|
Secteur d'activité
|
Distribution électrique et automatismes
|
Effectif
|
85 000 salariés
|
Chiffre d'affaires
|
10,4 milliards d'euros en 2004
|
Solution retenue
|
Baromètre e-corporate de Crmmetrix
|
En production depuis
|
Janvier 2005
|
|