"Pas de door-breaker à l'aube", plaisante Yves Crespin de la BEFTI. "Notre
objectif n'est pas de mettre le bazar", insiste-t-il également. Christian Aghroum
de l' OCLCTIC, évoquant les affaires de pédophilie, rappelle également que "taire
certaines actions à la justice, c'est renvoyer le risque à l'extérieur". La logique
est donc de tendre vers un partenariat public privé.
Une démarche présentée comme
aux bénéfices des deux parties. D'assistance et de protection pour les entreprises. Et de renforcement des
compétences pour les forces de lutte pour lesquelles il est nécessaire de connaître
les modes opératoires des criminels afin de les combattre.
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