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Les moyens pour atteindre cet objectif

-S'assurer que les technologies seront disponibles à des prix adaptés à un marché de masse.
- Recourir à un système d'enchère pour les attributions de licences, sauf en cas d'obligations d'intérêt général.
-Affecter les fréquences du dividende numérique au plus tard au deuxième semestre 2008.
-Permettre la valorisation financière du droit d'usage des fréquences par chaque ministère sous la forme d'un loyer

 

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Pierre Kosciusko-Morizet, PriceMinister
 
"Favoriser l'entrée de nouveaux acteurs"

 

 

 

C'est une bonne chose qu'il aborde le sujet. Mais il faudrait d'abord un débat national pour voir comment Internet pourrait bénéficier du dividende numérique. La pénétration d'Internet a pris beaucoup de retard en France. Et la meilleure solution pour donner un accès à tous serait d'ouvrir le dividende numérique aux opérateurs de télécommunications pour couvrir les zones blanches.

Je ne suis pas favorable à un système d'enchères. Le problème, si l'on se donne des objectifs financiers dans le processus d'attribution des fréquences libérées par la fin de la télévision analogique, est que l'on empêchera l'arrivée de nouveaux acteurs. Mais pourquoi ne pas envisager des enchères par typologie d'acteurs, par exemple entre acteurs télécoms d'une part, et opérateurs audiovisuels de l'autre.

 

 

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Michel Combes, TDF
 
"Une ouverture aux opérateurs télécoms"

Le rapport ne se prononce pas sur la répartition du dividence. Mais d'autres partie suggèrent en filigranne que ses auteurs sont favorables à une ouverture du dividende numérique aux services de télécommunications, en plus des services audiovisuels. Sinon, comment atteindre l'objectif d'accès pour tous au très haut débit en 2016 ? Le dividende doit permettre de répondre aux besoins des telecoms et de la télévision.

 

Les enchères ? Il en évoque la possibilité "sauf en cas d'obligations d'intérêt général". Ce qui recouvre les missions publiques et aussi le domaine audiovisuel. De plus, en ce qui concerne les chaînes, le président du CSA Michel Boyon rappelait lors de sa cérémonie de voeux que les chaînes financaient déjà la production audiovisuelle et les mécanismes de financement de contenus. C'est donc déjà une manière pour elles de s'acquitter de leur licence.

 


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