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La page d'acceuil de Mediadis © DR

Depuis, le site n'a cessé d'élargir son offre de produits pour faire face à la baisse des prix des DVD, mais surtout à l'arrivée d'acteurs étrangers sur le marché belge. D'un côté, Bol espère séduire les néerlandophones, de l'autre, la division belge de la Fnac courtise les francophones. "Comparés à ces gros acteurs étrangers, nous n'avions pas de notoriété", raconte Jean-Noël Chamart. Le site joue donc sur une politique tarifaire compétitive pour faire la différence avec la Fnac et Bol, qui alignent leurs prix sur ceux des magasins traditionnels. "Aujourd'hui nous gagnons plus d'argent que le site de la Fnac", affirme-t-il.

 

Or, même rentable, Dvdzone2.com reste longtemps confiné à un public de cinéphiles. En 2005, l'entrepreneur a donc décidé de changer de marque commerciale et a opté pour le nom de son entreprise, Mediadis, afin de sortir son site de son confinement et toucher un public plus large. En parallèle, Mediadis.com intègre de nouveaux rayons, dédiés à la musique et aux jeux vidéos.

 

L'autre problème auquel est confronté Médiadis est culturel. "Traditionnellement, les Belges n'ont jamais été friands de vente à distance, contrairement aux Français ou aux Allemand, où la VPC est forte", analyse Jean-Noël Chamart. Pour palier ce manque d'enthousiasme pour la vente en ligne, Mediadis axe donc sa communication sur la praticité et la simplicité de l'achat en ligne, autant que sur son offre de produits ou sa politique tarifaire. "Pour convaincre les internautes d'acheter en ligne, c'est encore nécessaire", estime le patron du site.

 


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