F.E.A.R. 2 : une histoire à ne pas dormir du tout

On fait partie d'une équipe
Mais avant tout, un mot de l'histoire. Ce deuxième opus débute juste avant la fin du premier : une petite demi-heure de jeu. Pour ceux qui n'ont pas encore fini F.E.A.R. premier du nom, évitons de raconter sa conclusion, mais sachez qu'elle est plutôt cataclysmique. Apocalypse qu'on subit donc au début de cet épisode, alors que le personnage qu'on incarne, Beckett, mène une simple mission de police avec son équipe. Les choses tournent vite au cauchemar et, quelques opérations médico-psychiques plus loin, on se retrouve intimement connecté à Alma, l'enfant-femme morte qui va nous plonger en enfer.

La mise en scène est léchée, le scénario se déroule bien, en une apothéose finale humainement extrêmement intéressante, ouverture sur un troisième et dernier opus. On regrettera juste que le héros soit encore une fois privé de personnalité.

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