Le
choix d'une technologie est conditionné
avant tout...
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Est-il
nécessaire d'acheter le logiciel le plus performant,
le plus solide, si son intégration, son paramétrage
ou sa maintenance, faute de ressources internes ou de
partenaires compétents et perennes, seront source
de coûts tels que l'opération se revèlera,
malgré les apports fonctionnels et l'adéquation
aux besoins (de dimensionnement, notamment), dommageable
pour l'entreprise ? En d'autres termes, la crédibilité
de l'accompagnement prime-t-elle, dans les choix des entreprises,
sur les qualités intrinséques des outils
?
Pour une majorité de lecteurs sondés (près
de 42%), la réponse est non, même s'ils sont
un peu moins d'un quart, tout de même, à
valoriser l'existence d'un marché valable de prestations
de services autour d'un logiciel ou d'une catégorie
de logiciels (comme les solutions libres, par exemple,
ou le service est primordial car les coûts de licences
se transfèrent en grande partie sur ce poste).
Outre les qualités de robustesse et de sécurité,
l'ouverture des outils (facilitant son intégration,
l'interopérabilité avec d'autres logiciels
et systèmes) est mise en avant par près
de 27% des répondants, tandis que les références
de l'outil ne constituent que rarement (8,6% des lecteurs-sondés,
seulement, se prononcent dans ce sens) le critère
de choix dominant d'une technologie.
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