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 Ce qu'il faut retenir |
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A l'inverse du salon "Solutions Linux", majoritairement occupé par les industriels de l'Open Source, l'évènement "Paris, Capitale du libre" accordait une place plus importante aux enjeux et au devenir du logiciel libre, et à des questions telles que la répartition des richesses.
Autre particularité de ce salon, la présence en masse de personnalités politiques. Une présence qui démontre à la fois le soutien de la sphère publique aux logiciels libres mais aussi la portée de la question du modèle économique des éditeurs de logiciels.
Les administrations publiques, elles, en ont profité pour rappeller leur engagement envers les standards de communication, et la nécessité de s'inscrire dans un cycle pérenne où l'utilisateur est aussi un contributeur et un soutien à l'industrie du logiciel libre.
A l'opposé du discours des associations, les partisans du modèle Open Source tranchaient vivement avec le discours du logiciel libre. Bull, l'INRIA, Accenture, pour n'en citer que trois, défendaient une vision plus opportuniste du logiciel libre, mélangé dans le système d'information avec des solutions propriétaires.
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