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| Météo France adopte une prise de contrôle distante sous conditions |
| Pour cause de migration de ses systèmes, l'établissement public a dû choisir un nouveau logiciel d'administration de parc à distance. Son infrastructure Frame Relay fait toutefois de la bande passante une ressource précieuse.
(15/01/2007) |
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Météo France emploie 3 700 personnes réparties sur trois niveaux : les services centraux, comprenant notamment la direction informatique et la direction de la production, les directions régionales, ainsi enfin que les centres départementaux.
Ce sont au total près de 4 000 machines, postes de travail et serveurs, dispersés sur 115 sites distincts. Les centres départementaux ne disposant pas de compétences informatiques, ce sont les équipes informatiques régionales qui prennent en charge l'administration de leur parc.
Avec des centres parfois éloignés de plusieurs centaines de kilomètres de la direction régionale à laquelle ils sont rattachés, pouvoir réaliser nombre de tâches d'administration et de support à distance est un besoin fort pour Météo France. Afin donc d'assurer la résolution des incidents signalés et effectuer de la prise de contrôle à distance, les administrateurs s'appuient jusqu'en 2005 sur ReachOut.
Mais au cours de l'année 2005, Météo France entame un vaste projet de migration de son infrastructure informatique de Windows NT4 vers Windows2003/Active Directory et Windows XP pour les stations de travail. Or cette mutation technologique contraint les équipes informatiques à se séparer de ReachOut, ce dernier n'étant pas supporté par le nouvel environnement.
Météo France teste plusieurs solutions du marché avant de retenir NetOp Remote Control, sur la base de trois critères principaux. "Nous avions à l'époque sur les centres départementaux un réseau Frame Relay avec des liens 64 Kbit/s, souvent très encombrés. Il était donc indispensable que l'outil de contrôle à distance soit à la fois performant, tout en s'accommodant de peu de bande passante", justifie Jean-Michel Godimus, ingénieur à la direction des systèmes d'information de Météo France.
| Des affichages complexes et des liens 64 Kbit/s contraignants |
Mais ce sont aussi la prise en charge d'affichages complexes (animations vidéo, imagerie satellite, radar, postes de travail multi-écrans etc.), les applications métiers des postes de travail étant pour la plupart liées à l'imagerie, ainsi que la compatibilité avec les plateformes Windows et Unix/linux qui ont contribué au choix de NetOp Remote Control. "Et même si depuis, les liens Frame Relay ont évolué vers la technologie MPLS (512 Kbit/s), la consommation en bande passante reste un élément déterminant", explique Jean-Michel Godimus.
Le projet de déploiement de NetOp Remote Control s'est fait conjointement à la migration vers Windows 2003 et Windows XP. Après des tests d'intégration sur une plateforme virtuelle puis sur le site pilote de Rennes, une image est distribuée vers les différents sites via les serveurs de télédistribution.
Les 1000 licences du logiciel acquises par Météo France couvrent prioritairement l'échelon local, mais aussi certains clients extérieurs, commerciaux ou institutionnels. Dans le cadre de ces prestations, les directions interrégionales peuvent en effet être amenées à faire du support et du contrôle distant auprès de clients qui leur sont rattachés.
Poussé comme l'outil standard vers les différentes directions de Météo-France, NetOp Remote Control côtoie cependant plusieurs autres applications, concurrentes ou complémentaires sur certaines tâches, comme Terminal Server de Microsoft ou VNC. Météo France s'appuie également sur d'autres logiciels pour ses opérations de supervision (HPOV) et de télédistribution.
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Le
projet en bref
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Entreprise
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Météo-France
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Effectifs
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3 700
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Secteur
d'activité
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Météorologie
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Type
de projet
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Prise de contrôle distante
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Editeur
retenu
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Danware
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En
production depuis
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2005
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Dossier 
