Performance
de l'emailing
: taux d'ouverture de 22 % fin 2009
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Selon les chiffres d'Epsilon, basés sur l'envoi de sept milliards d'e-mails,
la performance de l'e-mail marketing augmente fin 2009 en Amérique du Nord. Ainsi
le taux d'ouverture passe de 19,8% au 4ème trimestre 2007, à 20,9 % un an plus
tard et 22% au dernier trimestre 2009. |
42 % des internautes transfèrent des e-mails commerciaux |
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Seuls 8 % des internautes transfèrent souvent à leurs amis des e-mails qu'ils
trouvent intéressants selon le SNCD. 34 % déclarent le faire parfois. Par ailleurs
26 % des personnes interrogées font rarement cette démarche et même 32 % ne le
font jamais. |
Les 2/3 des achats post e-mailing se font sur le Web |
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En France, 68 % des internautes qui reçoivent des e-mails commerciaux et passent
ensuite à l'acte d'achat le font directement sur Internet, selon une étude réalisée
par le Syndicat national de la communication directe (SNCD). Pour 36 % des internautes
interrogés, l'achat se fait plutôt en magasin. |
Pertinence du sujet : 1ère cause de désabonnement aux newsletters |
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Il arrive régulièrement à 91 % des internautes américains de se désabonner
de newsletters ou d'y apposer leur opt'out selon Chief Marketing Officer Council.
Et la première raison invoquée pour 46 % d'entre eux est le manque de pertinence
du sujet par rapport à leurs centres d'intérêts. 23 % citent encore le nombre
trop important de newsletters qu'ils reçoivent et encombrent leurs boîtes mail
(16 % des répondants). |
Europe : deux newsletters sur cinq ont pour thème le tourisme |
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Selon une étude européenne menée par ContactLab, les internautes sont inscrits
en moyenne à six ou sept newsletters, ce chiffre frôlant les dix dans le cas des
Français. Ces newsletters librement souscrites ont le plus souvent pour thème
le voyage et les offres touristiques (selon 43 % des répondants) et l'e-commerce
(38 %). Les newsletters marchandes devancent donc celles des contenus média comme
l'actualité (37 %) et dépassent même celles des FAI ou simplement des opérateurs
de téléphonie fixe ou mobile (26 %). Viennent ensuite les newsletters liées
aux communautés en ligne (34 %) et associatives (26 %). |
Le taux d'ouverture des e-mails augmente à 22,2 % aux USA |
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Aux Etats-Unis, le taux d'ouverture des e-mails augmente de nouveau au second
trimestre selon Epsilon, passant de 20,7 % sur cette période en 2007 à 18,8 %
un an plus tard et finalement 22,2 % en 2009. Néanmoins, le taux de clic reste
relativement stable. Atteignant 6,2 % au second trimestre 2007, il stagne
à 5,9 % en 2008 et 2009. |
21
% des e-mails commerciaux autorisés ne sont jamais reçus |
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Même avec le consentement des consommateurs, les e-mails commerciaux ne touchent
pas toujours leurs cibles. Selon une étude américaine de "Return Path", seuls
79 % de ces messages arrivent dans les boîtes de réception. Les autres finissent
en spam ou plus probalement disparaissent. |
65
% des occidentaux se désabonnent fréquemment des e-mailings |
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Les internautes américains et les internautes européens ont quelques ressemblances
dans leur approche de l'e-mailing selon Epsilon. En effet, ils sont réciproquement
69 % et 65 % à se désabonner assez facilement ("parfois" ou "fréquemment") d'un
e-mailing qu'ils ont eux-mêmes souscrit. Un comportement adopté par seulement
35 % des asiatiques. |
12,52
% : taux d'ouverture des e-mails au second semestre 2008 |
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Aux Etats-Unis, Mailer Mailer a constaté que le
taux d'ouverture des e-mails continue de baisser, passant de 13,20 % au premier
semestre à 12,52 % au second semestre 2008. Crise oblige, le taux d'ouverture
des e-mails du secteur financier, le plus important en début d'année (27,75 %),
a baissé à 20,35 % en fin d'année. C'est sur le thème de la religion que les e-mails
enregistrent le plus fort taux d'ouverture au second semestre : 25,75 %. |
E-mailing
: près de 60% des marketeurs comptent augmenter leurs budgets |
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Malgré la crise, les annonceurs américains vont
continuer à augmenter leurs budgets de communication en ligne. L'e-mailing et
le marketing sur moteur de recherche devraient en profiter particulièrement, selon
un sondage Ipsos. Une majorité de répondants disent avoir l'intention de revoir
leurs dépenses à la hausse dans ces domaines. |
Le
taux d'ouverture des e-mails marketing baisse à 13 % |
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Les internautes dans le monde ouvrent de moins
en moins les e-mails marketing, selon une étude de MailerMailer. Le taux d'ouverture
moyen des e-mails commerciaux au cours du premier semestre 2008 ressort à 13,20
%. Soit près de quatre points de moins qu'il y a un an. Sur la seconde partie
de l'année dernière, 14 % des internautes avaient ouvert ce type d'e-mails. |
Etats-Unis
: les gros e-marchands maintiennent leur e-mailing pour Noël |
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Malgré la crise, les principaux sites e-commerce
américains continuent de miser sur l'e-mail marketing. Les envois auraient même
atteint leur plus haut niveau sur l'année pendant la semaine du 3 au 9 novembre,
selon le blog Retail Email dont l'indice mesure l'activité des 100 principaux
e-marchands. Le 7 novembre, ces e-mails portaient à plus de 40 % sur Noël et les
vacances de fin d'année. |
Le
travail augmente l'usage de l'e-mail de 50 % |
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L'e-mail semble être l'outil de communication le
plus utilisé au travail, si l'on en croit l'étude Use-IT de l'Idate. Les Français
de 18 à 35 ans qui ont un emploi estiment que leur usage de cet outil a augmenté
de moitié depuis qu'ils sont entrés dans la vie active. Viennent ensuite les appels
depuis un mobile et le temps passé en ligne (39%). L'Idate a conduit son étude
également au Royaume-Uni, en Italie et en Suède. Elle montre que les usages ont
augmenté davantage chez les jeunes travailleurs outre-Manche, notamment l'envoi
de SMS (41 %). |
L'e-mailing
attire 4 fois moins d'annonceurs que le courrier papier |
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L'outil e-mailing a été utilisé par 505 annonceurs
au cours du premier semestre 2008, selon une étude de TNS Media Intelligence pour
le Syndicat national de la communication directe, avec huit prestataires importants
du secteur. 1884 annonceurs, soit 3,7 fois plus, ont eu recours au mailing "papier"
traditionnel. |
Deux
Américains sur trois ont déjà acheté après
avoir reçu un e-mail | |
Le courrier papier reste le canal marketing le
plus efficace. 76 % des Américains ont déjà effectué
un achat après en avoir reçu un. Une efficacité qui se vérifie
dans toutes les tranches d'âges. L'e-mail se classe deuxième, avec
65 % d'efficacité globale, et jusqu'à 79 % chez les 55-64 ans.
Viennent ensuite le canal téléphonique (26 %), puis les moyens
de communications plus récents. Les SMS par exemple entrainent l'achat
pour 6 % des répondants, mais la proportion avoisine les 10 %
chez les moins de 35 ans. |
Monde.
E-mail marketing : plus de liens = plus de performance |
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Plus un e-mail contient de liens, meilleure est
sa performance, d'après les statistiques fournies par l'institut d'études
MailerMailer. Les e-mail avec plus de vingt liens suscitent, en effet, au minimum
deux fois plus de clics que ceux qui en contiennent moins. Globalement, la performance
des e-mail a par ailleurs légèrement baissé au deuxième
trimestre 2007. |
Etats-Unis :
1,2 milliard de dépenses en e-mail marketing en 2007 |
|
L'investissement des sociétés américaines
dans le domaine de l'e-mail marketing devrait atteindre 2,1 milliards de dollars
en 2012, selon l'institut JupiterResearch. Il précise que les dépenses
d'e-mailing de fidélisation devraient plus que doubler d'ici 2012, pour
représenter plus de la moitié du total, tandis que celles visant
à recruter des prospects croîtront plus lentement. |
Etats-Unis
: des taux d'ouverture des e-mailings en chute de 3 % |
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Les performances de l'e-mail marketing continuent
de s'effriter, selon MailerMailer. Les taux d'ouverture chutent de 19,10 %
au premier semestre 2006 à 17,20 % au second semestre 2006, et à
16,11 %. Une décroissance que MailerMailer attribue au fait que les internautes
n'affichent pas par défaut les images dans messagerie électronique,
ce qui fausse les calculs. En effet, les taux de clics restent pour leur part
relativement stables, ce qui laisse penser que les internautes continuent de lire
les e-mailings. |
Europe
: l'e-mail marketing pourrait peser 1,5 milliard d'euros en 2007 |
|
Attendus à près de 1,5 milliard d'euros
pour l'année 2007, les investissements marketing européens consacrés
à l'e-mailing pourraient atteindre 2,3 milliards en 2012, selon Forrester
Research. En Europe, les consommateurs reçoivent en moyenne 250 e-mails
par semaine, dont les deux tiers sont des e-mails commerciaux, des newsletters
et du spam. Mais les responsables marketing comptent investir d'avantage dans
l'e-mailing. Et ce notamment en France, en Allemagne et au Royaume-Uni. |
USA : les investissements
dans l'e-mailing attendus à 1,4 Md de dollars |
|
Les investissements des sociétés
dans le domaine de l'e-mail marketing devraient atteindre 1,475 milliard
de dollars en 2007, contre 1,425 milliard de dollars pour l'année 2006,
selon eMarketer. La progression de ces investissements pourrait marquer le pas
d'ici 2011, l'institut les estimant à 1,650 milliard de dollars. Pour eMarketer,
cette faible croissance est due au fait que l'e-mail marketing reste perçu
comme un médium low cost. |
France : 6,31
% de clics dans les e-mailings |
|
Devenu désormais plus mature, l'internaute
français n'hésite pas à cliquer dans le mail (6,31 %), mais
en contrepartie, il se désabonne plus facilement (0,17 %), selon Emailing
Solution. Ces indicateurs français s'avèrent toutefois plus haut
que ceux du Royaume-Uni, où le taux d'ouverture est de seulement 13,91
%, pour un taux de clic de 2,44 %. En Espagne, le taux de NPAI chute fortement
entre le premier et le deuxième trimestre, passant de 12,07 à 9,28 %.
|
Etats-Unis
: Les principales raisons pour lesquelles les consommateurs ouvrent les e-mails
(en pourcentage des répondants à l'enquête, réalisée
en janvier 2007) |
Principales
raisons | En
pourcentage des répondants |
Je
connais l'emetteur et lui fais confiance | 55,9 % |
J'avais
déjà ouvert auparavant et j'avais trouvé que c'était
intéressant | 51,2 % |
En
raison de l'objet | 41,4 % |
Je
n'ouvre que les e-mails que je lis normalement |
32,2 % |
La fenêtre de prévisualisation a retenu mon attention | 21,8
% |
En raison du discount | 20,0 % |
En raison de l'offre de remise | 17,5 % |
Les
entreprises ne m'envoient pas beaucoup d'e-mails |
9,4 % |
L'e-mail ressemblait au catalogue que j'ai reçu chez moi | 8,8
% |
Source : Return Path, janvier 2007
|
Etats-Unis
: Les principales raisons pour lesquelles les responsables marketing utiliseront
l'e-mail marketing en 2007 (en pourcentage des répondants à
l'enquête, réalisée en décembre 2006) |
Principales
raisons | En
pourcentage des répondants |
Apporte
des revenus supplémentaires | 55,3 % |
Renforce
le positionnement de la marque | 19,1 % |
Accroît
la fidélité client | 10,6 % |
Permet
de "réveiller" des clients inactifs |
8,5 % |
Accroît la fréquence d'achat | 6,4 % |
Source
: Datran Media, fév. 2007
|
Etats-Unis
: Taux d'ouverture et de clics dans les e-mailings (sur la
période du premier semestre 2006) |
Secteurs | Taux
d'ouverture | Taux
de clics |
BtoC | 78,9 % | 19,9 % |
BtoB | 67,7 % | 11,2 % |
Source
: Harte-Hanks Postfuture, 2006
|
Etats-Unis
: Taux de clics dans les e-mailings en fonction des secteurs d'activité
(sur la période de janvier à juin 2006) |
Secteurs | Taux
d'ouverture |
Restaurants
| 57,5 % |
Maisons
d'édition | 55,6 % |
Pharmacie
| 23,8 % |
Voyage
et hébergment |
23,4 % |
Conférences et événements | 14,2 % |
Services
financiers | 11,0 % |
Technologie
| 10,9 % |
Gouvernement |
9,5 % |
Assurances | 9,5 % |
Biens
de consommation packagés | 8,6 % |
Loisirs | 8,1 % |
Distribution |
6,0 % |
Automobile | 5,7 % |
Source
: Harte-Hanks Postfuture, 2006
|
E-mailing
: la France, championne des taux de clics Taux
de clics dans les e-mailings en Europe au quatrième trimestre 2005 |
|
Malgré une baisse annuelle
de 4,5 %, la France conserve une longueur d'avance en matière de taux de
clics dans les e-mailings, avec 12,6 % au quatrième trimestre 2005, selon
Epsilon Interactive. Au Royaume-Uni, le taux de clics bondit de 15,2 % sur un
an, et atteint 9,1 %, tandis qu'en Allemagne, il est en chute libre (- 19,8 %),
à 6,9 %. |
Etats-Unis
: Mesure des campagnes d'e-mailing en fonction des jours de la semaine
(sur le mois de juillet 2006) |
Jours | Taux
d'ouverture | Taux
de clic |
Lundi
| 35,1 % | 5,2 % |
Mardi
| 33,6 % | 5,0 % |
Mercredi
| 33,4 % | 4,8 % |
Jeudi
|
33,5 % |
5,2 % |
Vendredi | 32,7 % | 4,4 % |
Samedi
| 38,3 % | 5,4 % |
Dimanche | 37,1 % | 5,2 % |
Source
: eROI, 2006
|
Monde
: Evolution des performances de l'e-mailing (Taux
d'envois aboutis, taux d'ouverture, taux de clic, en %) |
Pays | Taux
d'envois aboutis | Taux
d'ouverture | Taux
de clics |
T4 2005 |
France |
90,9
% | 40,2
% | 12,6
% |
Allemagne |
96,8
% | 27,5
% | 6,9
% |
Royaume-Uni |
92,5
% | 29,4
% | 9,1
% |
Total EMEA |
93,8
% | 29,8
% | 9,3
% |
T4 2004 |
France |
91,3
% | 42,8
% | 13,2
% |
Allemagne |
93,8
% | 34,4
% | 8,6
% |
Royaume-Uni |
86,7
% | 36,8
% | 7,9
% |
Total EMEA |
89,6
% | 38,0
% | 11,3
% |
Source : Epsilon
Interactive, 2006
|
Etats-Unis
: évolution des performances de l'e-mailing (Taux d'envois
aboutis, taux d'ouverture, taux de clic de 2002 à 2005 en %) |
Période | Taux
d'envois aboutis | Taux
d'ouverture | Taux
de clics |
T2 2005 |
92,1
% | 27,5
% | 7,2
% |
T1 2005 |
91,7
% | 30,2
% | 7,9
% |
T4 2004 |
90,6
% | 32,6
% | 8,0
% |
T3 2004 |
89,3
% | 34,3
% | 8,2
% |
T2 2004 |
89,5
% | 36,0
% | 7,7
% |
T1 2004 |
88,8
% | 38,2
% | 8,4
% |
T4 2003 |
87,3
% | 36,8
% | 8,4
% |
T3 2003 |
88,2
% | 37,1
% | 9,2
% |
T2 2003 |
88,5
% | 38,8
% | 8,3
% |
T1 2003 |
87,5
% | 39,2
% | 8,9
% |
T4 2002 |
86,5
% | 36,4
% | 8,0
% |
T3 2002 |
86,7
% | 37,3
% | 8,5
% |
T2 2002 |
86,4
% | 37,6
% | 7,5
% |
Source : DoubleClick,
2005
|
Monde
: Evolution du taux de non-distribution des e-mails sollicités |
Années |
Pourcentage de non-distribution |
2005* |
21,0
% | 2004 |
22,0
% |
2003 |
18,7
% |
2002 |
15,0
% |
Source : Return Path,
2005
|
| A noter
*Sur
le premier semestre de l'année 2005. |
Etats-Unis
: Fréquence de consultation des messageries électroniques par les
internautes (En pourcentage
des répondants) |
Années |
Constamment |
Plus d'une
fois par jour |
Une fois
par jour |
Une fois
par semaine | 2005 |
44
% | 46
% | 9
% | 1
% | 2004 |
33
% | 48
% | 18
% | 2
% |
2003 |
20
% | 52
% | 24
% | 4
% |
2002 |
-- |
74
% | 24% |
2
% |
2001 |
-- |
73
% | 26% |
1% |
Source
: DoubleClick, décembre 2005
| |