Au final,
Swarovski indique que la campagne lui a permis d'augmenter son trafic en magasins,
mais dans une proportion qu'elle se refuse à préciser. Néanmoins, la marque révèle
que la campagne a contribué au fait que trois Lovlots sont entrés dans le top
10 de ses ventes. Digicompanion indique par ailleurs que le site Wap a enregistré
"une dizaine de milliers de visites", pour un nombre de téléchargements situé
entre 5.000 et 6.000.
En outre, l'opération a permis à Swarovski
de bénéficier de retombées presse inattendues dans des supports ciblant un jeune
public. Des résultats qui ont conduit la marque à étendre cette opération en Allemagne
et aux Pays-Bas.
La campagne Swarovski en chiffres |
Nombre de téléchargements | entre
5.000 et 6.000 |
Nombre
de visites | environ 10.000 |
Source : Swarovski / Digicompanion |
Ce succès conforte Digicompanion dans sa stratégie.
La société, qui compte plusieurs centaines de milliers de références à son catalogue,
a déjà converti plusieurs annonceurs de premier plan aux primes dématérialisées,
tels que Stabylo, Unilever ou les Galeries Lafayette. "Notre problématique consiste
à trouver les contenus les moins chers, qui auront la valeur perçue la plus élevée
pour le consommateur", explique Jean-Marc Holder. A ce petit jeu, les annonceurs
apprécient avant tout les avantages logistiques, le choix, la souplesse et le
coût de ces solutions dématérialisées.
Dans le cadre de telles opérations,
Digicompanion se rémunère d'une part en fixe, sur la mise en place de la plate-forme
mobile, et d'autre part en variable, sur la consommation de contenus en fonction
du nombre de téléchargements ; sans compter les prestations facturées en dehors
de la plate-forme mobile, et les services en termes de promotions au-delà des
magasins (référencement sur les portails des opérateurs, etc.).