Aujourd’hui, 2% des internautes qui visitent une boutique en ligne finissent par acheter un produit sur Internet !

Le e-commerce n’en est qu’à ses débuts, et les chiffres révélés par la FEVAD (37,7 milliards d’euros en France en 2011, soit une croissance de 18%), ne font que renforcer l’idée que ce marché représente un nid d’opportunités et un eldorado du business pour les années à venir.

A condition, bien sûr, de savoir faire évoluer les comportements et d’offrir aux cyber-marchands des services et un accompagnement au moins aussi efficaces que ceux pratiqués en offline… Et c’est là que le bâts blesse… Car aujourd’hui, si 50% des clients qui entrent dans une boutique « physique » achètent un produit, le taux de conversion n’est plus que de 2,4% pour un site de commerce électronique (Source FEVAD).
Plus grave encore, 2 acheteurs sur 3 abandonnent la transaction en cas de problème lors du paiement (Source Tealeaf Harris), sans que le cybermarchand en connaisse la raison.
Il devient alors évident, qu’à l’heure où chaque cyber-acheteur est à un clic seulement d’une offre concurrente, l’enjeu n’est plus la course à l’audience mais avant tout la maîtrise du tunnel de conversion et l’analyse des données relatives au processus d’achat.  
L’objectif pour chaque cybermarchand est d’étudier son trafic et de faciliter les transactions pour maximiser les taux de conversion tout en optimisant la gestion des risques et des impayés en ligne.
Pour cela, il a besoin d’avoir à disposition un système d’encaissement fiable et sécurisé, et d’intégrer la fonction paiement à sa stratégie d’optimisation du tunnel de conversion. 3DSecure débrayable, oneclic, rebill, upsell, contestation, compensation, autorisation, …. Sont d’ailleurs autant d’options qui lui permettent d’augmenter ses ventes, de réduire sa sinistralité, d’analyser le comportement de ses acheteurs potentiels sur son site et de gérer la fidélisation de ses clients premium.
Dans ce contexte où les systèmes de paiement en ligne deviennent indissociables du marketing et de la connaissance du client, quelle frustration pour les e-commerçants de devoir encore se plier au processus complexe que représente la mise en place d’une solution d’encaissement en ligne ! Non seulement le e-commeçant doit faire face à des interlocuteurs et des contrats multiples (contrat commerçant – VAD - avec sa banque, deuxième contrat avec un Payment Service Provider –PSP- agréé, …) mais en plus il se retrouve avec une solution de gestion d’ encaissements en ligne, souvent très loin de lui offrir le dernier cri en matière de web marketing…
Aujourd’hui, le marché des services financiers s’ouvre à de nouveaux acteurs, comme cela a été le cas avec les secteurs de l’énergie ou, dans un passé plus récent, des télécoms, et rend ainsi possible l’émergence de nouvelles propositions dans le domaine du e-paiement.
Profitons de cette opportunité pour faire bouger les lignes du commerce électronique et pour le faire entrer dans une nouvelle ère, celle d’un mariage productif entre les univers monétique et web-marketing, pour apporter un nouveau savoir-faire auprès de 100 000 cybermarchands français et leurs collègues européens.