E-commerçants : rester une proie ou devenir un prédateur ?

Rester sur son marché domestique équivaut à devenir une proie. Les concurrents étrangers sont déjà arrivés et ce mouvement ne fait que s’amplifier. Les parts de marché qu’ils viennent chercher en France se fait au détriment des acteurs nationaux.

L’union européenne, une réalité au service du e-commerce.

L’union européenne est un marché commun. Cette réalité permet de favoriser la compétition et la concurrence à tous les niveaux et entre tous types d’acteurs économiques.

La monnaie unique, l’Euro, l’uniformisation des réglementations et des régulations en Europe sont des accélérateurs de concurrence. En effet, si pour une entreprise, s’implanter dans un pays étranger lui garanti les mêmes règles du jeu que sur son marché domestique, alors elle sera d’autant plus motivée à venir y s’installer.

Des solutions e-commerce au service de l’internationalisation.

L’avènement du e-commerce a entrainé des modifications de comportement et d’habitude d’achat chez les consommateurs. Le secteur du commerce électronique s’est donc profondément structuré. Aujourd’hui 3 constats sont unanimement partagés :


1) Les points de vente, en devenant virtuels, se jouent des frontières. Ouvrir un site e-commerce en .de, .it ou .es ne présente aucune difficulté. 

2) Les systèmes logistiques se sont adaptés à l’essor de la vente à distance et sont aujourd’hui matures. Par exemple les solutions de drop shipping permettent de livrer les consommateurs dans presque tous les pays européens dans des délais raisonnables.

3) Les ERP et les systèmes de backoffice sont efficaces et performants. Leurs fonctionnalités sont parfaitement adaptées en enjeux du commerce électronique. Les solutions comme Magento ou Prestashop sont tellement simples et intuitives que l’on peut les qualifier de « Plug and Play »

D’un côté, nous avons donc un marché européen unique favorisant la circulation des biens et des services. De l’autre côté, se trouvent des canaux de vente et de distribution dématérialisés qui répondent à des besoins de consommation en temps réel.

Ces données ont un impact de plus en plus fort et durable sur les activités des e-commerçants. Le monde, ou plus exactement le marché, du commerce électronique devient une jungle où la loi du plus fort domine.

Alors proie ou prédateur ? C’est bien dans ces termes que la question se pose.

Rester sur son marché domestique équivaut à devenir une proie. Les concurrents étrangers sont déjà arrivés et ce mouvement ne fait que s’amplifier. Les parts de marché qu’ils viennent chercher chez les autres se fait au détriment des acteurs nationaux.

Devenir prédateur, c’est grossir en allant chercher la croissance à l’étranger. Cela permet, non seulement de prendre de nouvelles parts de marché mais aussi d’assoir une position dans son pays d’origine. En effet en augmentant les volumes de vente, le web marchand va réaliser des économies d’échelle sur ses achats mais aussi rentabiliser plus vite ses investissements dans les outils logistique et informatique. Les marges de manœuvre ainsi dégagées lui offrent des moyens supplémentaires pour garder sa place sur son marché domestique.

Les barrières pour se déployer à l’international n’existent plus.

Les solutions opérationnelles permettant la conquête des nouveaux pays/marchés en maitrisant les risques et les coûts sont connues. En ce sens des sociétés comme Salesupply,  Arvato ou PSFWeb, spécialistes des déploiements internationaux de sites e-commerce, apportent une expertise et un savoir-faire unique.

Les raisons avancées par un e-commerçant pour retarder un lancement international ont-elles un réel fondement ?

E-commerçants, n’attendez plus, devenez prédateur !