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L' article
du Wall Street Journnal
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Pauvre bannière publicitaire. Portée aux nues au
tout début de l'Internet par les pionniers du Web, la voici
à présent décriée et méprisée par les divisions marketing
qui désormais lui préfèrent des formats plus récents et
plus novateurs, tels que la publicité vidéo, les Widgets
ou encore les mash-ups.
Pourtant les bannières représentent encore une part conséquente des investissements
publicitaires en ligne : 3,4 milliards de dollars en 2006, soit
21 % de l'ensemble du budgets publicitaire en ligne. Mais cette part devrait
continuer à décroître.
Pourquoi un tel désamour ? Pas seulement en raison de l'attrait des services
marketing et des internautes pour la nouveauté. Non ! Il s'agit en fait d'un
problème intrinsèque. Avec ses deux dimensions, la bannière est finalement
peu visible dans une page Web. C'est du moins ce que révèlent les travaux
de chercheurs qui étudient les mouvements des yeux sur une page Web et les clics
de la souris. Un phénomène qui ne touche d'ailleurs pas seulement les bannières
publicitaires. C'est le cas de n'importe quel contenu, si important soit-il, qui
est disposé autre part qu'au somment ou au milieu de la page. Il n'est pas vu.
D'où l'intérêt des marketers pour des formats en mouvement qui permettent d'accrocher
l'il de l'internaute et d'avoir de meilleurs taux de clics.
Lire l'article du Wall Street Journal
Marketers
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