Trois centres, à Lille, Rennes, et Créteil, sont entièrement et exclusivement dédiés au recouvrement des impôts. Mais leurs salariés ne travaillent quasiment que manuellement, sans traitement informatique, et surtout leur activité se concentre sur les trois derniers mois de l'année. Le reste du temps, "l'activité est faible". Selon les auditeurs, il suffirait "d'étaler légèrement les mises en recouvrement", d'étendre les compétences des trois centres au recouvrement des amendes et d'autres impôts et d'accélérer l'informatisation des processus pour économiser 400 emplois équivalents temps plein et récolter 150 millions d'euros supplémentaires par an.
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