Photo © Léonidas
 
"Il faut provoquer des instants de consommation", plaide Wim Lievens, le directeur général de Léonidas. De six vitrines par an, le chocolatier belge en impose désormais dix à ses détaillants avec en permanence une colonne à l'effigie du roi de Sparte et trois zones différentes pour accueillir les chocolats, les dragées et la confiserie. Même son de cloche chez De Neuville qui contraint ses franchisés à changer leurs vitrines toutes les trois semaines. A chaque fois les nouveautés ou les promotions sont mises en avant. "Il faut théâtraliser le chocolat", insiste Mario Catena, le directeur général de De Neuville qui y voit un moyen de désaisonnaliser ses ventes. Pour Pâques, ses clients saliveront devant une vitrine intitulée "Des œufs pleins les yeux".
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