Du plomb et des casseroles d'Assassin's Creed

Une des principales nouveautés : l'intérêt du personnage d'Ezio et plus généralement de la narration
Le premier épisode d'Assassin's Creed était plombé par certains défauts rédhibitoires.

En premier lieu, la redondance et le peu de cohérence des missions couplé à l'indigence de la narration. Cela empêchait qu'on s'immerge dans le monde et générait vite l'ennui. 

Ce défaut est magistralement corrigé, et nous en sommes très heureux. Il est bien plus simple de s'identifier à Ezio, coureur de jupon et impulsif. L'histoire est plus travaillée, on reste dans une trame narrative intéressante avec rebondissements, trahisons, coups de théâtre...

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