30/06/00
En
bref
- Improve
(programmation objet) et Versata
(règles métiers pour applications e-business)
annoncent un partenariat technique et commercial. Cette
association devrait permettre à leur clientèle
de déployer rapidement des applications transactionnelles
accessibles par le web et de les faire évoluer rapidement.
- Le
groupe américain d'électronique Texas Instruments veut racheter
pour 475 millions de dollars Dot Wireless, spécialisé dans
la technologie du sans fil. Dot Wireless développe des techniques
basées sur la norme de téléphonie mobile américaine CDMA
pour les téléphones de la troisième génération (3G). Ces
téléphones devraient commencer à être utilisés à partir
de l'année prochaine.
-
IBM a annoncé la construction du plus rapide et du plus
gros ordinateur au monde, de la taille de deux terrains
de basket, pour simuler les essais nucléaires virtuels du
département américain de l'Energie. Cet ordinateur géant,
appelé ASCI White, est capable d'effectuer quelque 12.300
milliards d'opérations par seconde, soit plus de trois fois
les capacités du plus puissant ordinateur actuellement en
service, a indiqué IBM dans un communiqué. L'ASCI White
va assurer le programme de sécurité et de fiabilité de l'arsenal
de l'armement nucléaire américain sans avoir recours à des
essais réels.
- IBM
a annoncé qu'il allait investir un milliard de dollars pour
développer des logiciels pour l'internet, destinés aux entreprises.
Le groupe prévoit également d'engager 1.000 personnes dans
le cadre de cette initiative. L'investissement d'IBM dans
ce secteur devrait connaître une croissance à deux chiffres
l'année prochaine. IBM va concentrer ses efforts la plateforme
logicielle WebSphere qui fournit aux entreprises une assistance
complète, étape par étape, pour établir une présence et
développer leurs activités en ligne, indique le groupe.
- Un
groupe de 22 actionnaires de l'éditeur de logiciels néerlandais
Baan, emmenés par le Néerlandais Ernst Sonneveldt, ont appelé
les actionnaires à rejeter l'offre de rachat du britannique
Invensys lors de l'assemblée générale de Baan jeudi aux
Pays-Bas. Face à cela, des membres
du conseil d'administration du groupe néerlandais ont averti
que Baan pourrait
faire faillite si sa reprise par le britannique Invensys
venait à échouer.
|