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18/09/01
Les
assistants numériques, clandestins à bord de l'entreprise
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Votre
opinion
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Dans votre entreprise, les assistants numériques
(Palm, Pocket PC)... |
81.8 % (359 votes)
sont laissés à la responsabilité de chacun
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Les
Palm et autres Pocket PC séduisent les utilisateurs
individuels mais beaucoup moins les entreprises. En
témoigne notre sondage qui a rarement affiché des scores
aussi contrastés. Dans les entreprises de plus de 80%
de nos sondés, l'usage des assistants personnels reste
une affaire justement très
personnelle ! Seulement
12% des répondants rapportent que ces assistants nomades
sont effectivement pris en compte par le système d'information.
Dans la grande majorité des cas, l'apparition de ces
objets high tech sur les bureaux est donc le fait d'initiatives
personnelles. Assez logiquement, c'est donc aux salariés
de se débrouiller pour assurer par exemple la fameuse
synchronisation entre l'assistant numérique et les logiciels
installés sur le poste de travail professionnel comme
Lotus Notes ou encore Microsoft Exchange
Les entreprises
font-elles preuve de légèreté en laissant ces assistants
prospérer sans contrôle et devenir parfois des outils
de travail " clandestins " ? La question n'est pas superflue
dans la mesure où ces ordinateurs de poche embarquent
des données relatives à l'entreprise. D'autant que certains
experts ont récemment dénoncé
la faiblesse de ces dispositifs en matière de sécurité.
A défaut d'allouer des ressources à la gestion de ces
nouvelles flottes d'appareils ultra-mobiles, quelques
entreprises jouent la prudence et optent donc pour leur
interdiction pure et simple. En attendant que ces assistants
numériques entrent officiellement dans les entreprises,
on peut toutefois leur reconnaître un mérite : celui
d'uvrer au rapprochement des utilisateurs et des services
informatiques - il en faut des pourparlers pour convaincre
un représentant du support IP d'autoriser l'installation
officieuse des logiciels nécessaires à la synchronisation
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