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Business & Decision, SII, Atos Origin, STMicroelectronics, Mitel, Sears-CSC, Brocade, Oracle |
Business & Decision acquiert le britannique Domino Systems - Près de 15% de croissance pour le groupe SII - Le Centre de Ressources en Informatiques Hospitalières des Alpes fait appel à Atos - Alcatel cède sa part dans la joint venture TCL & Alcatel Mobile Phones - STMicroelectronics annonce de nouvelles suppressions de postes - Mitel lève 55 millions de dollars - Sears rompt son contrat d'externalisation avec CSC - Brocade va revoir le montant de ses résultats financiers entre 2001 et 2004 - Oracle paye 8 millions de dollars pour arrêter les charges qui pèsent contre lui.
(
18/05/2005
)
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FRANCE
Acteurs.
Business & Decision annonce l'acquisition du britannique Domino Systems : un spécialiste de la création de sites Web et des activités de commerce en ligne. Les effectifs de la SSII française augmentent ainsi de 50% en Grande-Bretagne pour atteindre une centaine de personnes. Implanté à Oxford, Domino Systems réalise un chiffre d'affaires annuel de 2,3 millions d'euros (2004), pour un résultat net proche de l'équilibre et une marge brute de 52%.
Prestataires. Le Centre de Ressources en Informatiques Hospitalières (CRIH) des Alpes fait appel à Atos Origin en vue de mettre en oeuvre le plan gouvernemental "urgences". Objectif affiché : accompagner les services d'urgences dans le déploiement du Dossier Médical des Urgences. Dans le cadre de ce projet, la SSII a développé une offre associant logiciels et services. Elle s'appuie sur l'application DMU d'Atos - qui combine fonctions de diagnostic et d'assistance thérapeutique et de prescriptions.
Résultats.
Le groupe SII enregistre un chiffre d'affaires de 86,93 millions
d'euros pour son exercice fiscal 2004/2005 (clos le 31 mars),
en hausse de 14,8% comparé à l'année précédente. Dans le même
temps, son résultat net passe de 5,32 millions d'euros à 6,52
millions d'euros. Sur son exercice 2005/2006, la société de
services informatiques entend conserver ce niveau de progression,
et table sur une croissance de 15% d'une année sur l'autre.
Acteurs.
Alcatel cède sa part dans la joint venture TCL & Alcatel Mobile Phones. L'opérateur chinois TCL vient de signer un accord avec le groupe français selon lequel il s'engage à racheter la participation de 45% que celui-ci détenait dans la société. Cette opération intervient alors que TCL & Alcatel Mobile essuie de grosses difficultés financières, et prévoit de mettre en oeuvre un plan de restructuration (dixit le Financial Times).
INTERNATIONAL
Emploi.
Le fabricant franco-italien de composants électroniques STMicroelectronics
annonce 1 700 à 1 800 suppressions d'emplois supplémentaires.
Raison invoquée : la poursuite de la baisse du dollar oblige
le groupe à renforcer sa politique de réduction des coûts. Ce
nouveau plan fait suite à une première annonce concernant 1
200 à 1 300 réductions de postes en début d'année. Sur les 3
000 emplois concernés au total, environ 1 500 devraient être
transférés en Asie.
Bourse.
Mitel, spécialisé dans les solutions de téléphonie
sur IP professionnelles, a réalisé une levée
de fonds de 55 millions de dollars afin de poursuivre sa stratégie
de croissance. Ces nouveaux capitaux ont été apportés
par des investisseurs institutionnels américains et se
présentent sous la forme d'un financement de créances
convertibles sur une période de 5 ans.
Acteurs.
Sears, Roebuck and Co., spécialiste américain de la vente au détail et de la grande distribution, rompt son contrat d'infogérance d'un montant de 1,6 milliards de dollars avec la SSII américaine CSC (Computer Sciences Corporation) débuté en juin 2004. Selon les termes de l'accord, le contrat devait durer 10 ans et laissait (entre autres) à CSC la gestion des postes de travail, des serveurs et des réseaux de Sears. La raison: CSC ne répondrait pas à tous ses engagements.
Acteurs.
Brocade, fournisseur de solutions à destination de l'industrie
du stockage de données, a surestimé ses résultats
entre 2001 et 2004. Cela se traduit par une réduction
de 5 à 11 cents du bénéfice net par action
en 2001, et par une baisse de 8 à 9 cents en 2002. Le
problème viendrait, selon lui, d'une errreur dans la
comptabilisation de ses stocks options. La société
précise qu'elle avait fait l'objet d'une enquête
menée par le département de la justice américain
et la SEC.
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