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Le test applicatif souvent relégué au second plan
Garant de la réussite des projets de déploiement, le test logiciel nécessite pourtant des ressources importantes, ainsi que l'implication des départements métiers.  (04/11/2005)
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 Logica CMG
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Assurer le passage en phase opérationnelle d'une application, qu'elle soit développée par un éditeur ou de façon spécifique pour l'entreprise ou l'un de ses départements... Un objectif pour le moins complexe au vu des impondérables pouvant se révéler lors de cette transition (outils inadaptés, dysfonctionnements, intégrations défectueuses, etc.).

Un lancement réussi est d'abord un lancement bien préparé. D'où la nécessité d'éprouver le logiciel avant sa mise en production, à la fois en lien avec les utilisateurs (recette fonctionnelle) et en lien avec les équipes informatiques (test technique). Un ensemble de tâches qui, autant que faire ce peu, doit être réalisé en évitant de perturber l'existant, dans des délais acceptables, et suivant les contraintes de coûts de l'entreprise. Bref, de façon industrialisée.

Une enquête publiée fin septembre par la société de services informatiques LogicaCMG met le doigt sur la faiblesse des directions des systèmes d'information (DSI) sur le plan des tests applicatifs... Alors que 76% des responsables informatiques interrogés jugent cet aspect stratégique, 68% considèrent comme beaucoup trop nombreuses les applications déployées sans être passées par cette phase probatoire. Partant de là, 89% déclarent avoir essuyé des problèmes dans les 48 heures suivant la mise en place d'un nouveau système.

Une phase souvent orchestrée par la seule DSI

Les raisons de ce déficit : "dans un contexte de rationalisation des coûts, les DSI ne disposent pas des ressources et de la capacité technique suffisantes ni des compétences adéquates pour mener à bien ces processus de test." Deux éléments évoqués respectivement par 85% et 78% des personnes consultées.

Autre paradoxe souligné : les tests dépendent le plus souvent de la responsabilité des DSI (dans 73% des cas), les départements métiers sont relégués loin derrière (9%). Cependant, pour la grande majorité des répondants (74%), leur supervision devrait au contraire se placer plus prés des directions opérationnelles dans la mesure où ces dernières sont mieux à même de valider les nouveaux développements au regard des besoins des clients internes...

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En conclusion, LogicaCMG estime qu'un consensus entre DSI et directeurs métiers est entrain d'émerger sur cette question, consensus qui devrait aboutir à une revalorisation de la démarche de test. Ainsi, pour plus de 80% de ces deux populations, l'amélioration des procédures de test, notamment par l'élaboration de protocoles au plus proche de la vision des utilisateurs (en termes fonctionnels, de performance, etc.), permettrait de réduire les coûts de développement, 74% affirmant qu'une approche plus structurée de cette étape, prenant en compte le degré de criticité de l'application, contribuerait à optimiser la qualité du produit final.
 
 
Antoine CROCHET-DAMAIS, JDN Solutions Sommaire DSI
 
 
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