Les outils décisionnels décuplent la puissance des indicateurs métier.
Suivis financier et opérationnel fins, prévisions, simulations... leurs possibilités
sont multiples.
Les grandes plates-formes décisionnelles généralistes, telles
que celles commercialisées par Business Objects, Cognos et Oracle / Hyperion,
ou encore les applications de BI d'acteurs plus modestes, toutes basées
sur les technologies Web ou en tous cas client / serveur, contribuent à ouvrir
la manipulation d'indicateurs à une population de responsables beaucoup
plus large que par le passé.
Mécanismes prévisionnels, prise en compte de données non-structurées,
indicateurs composites, tableaux de bord avec système d'alerte... les outils
d'analyse et de restitution avancent toute une panoplie de techniques pour enrichir
l'expérience du décideur, qu'il se place d'un point de vue stratégique
ou purement opérationnel.
Au-delà des dispositifs de restitution, ce sont également les couches
d'infrastructure qui donnent à ces plates-formes leur puissance. Les serveurs
d'intégration de données (ETL) assurant l'agrégation de données en provenance
de systèmes divers, nécessaire à la création d'indicateurs consolidés prenant
en compte de multiples aspects. Et les cubes multidimensionnels des bases de données
contribuant à renforcer encore la capacité d'analyse des solutions frontales.
