Chronique d'Erin Douglas, Easyrecrue
L’idée paraîtra saugrenue. La pratique d’une langue étrangère peut-elle entrer en ligne de compte quand il s’agit d’élire nos représentants ? Ce n’est pas demain la veille pensera-t-on. Pourtant, le sujet est d’actualité. Il n’y a qu’à voir le bruit autour de chaque prise de parole en anglais d’Emmanuel Macron pour s’en persuader.