La résilience en entreprise grâce au développement d'applications dynamiques

Face à des marchés de plus en plus dynamiques, les entreprises doivent s'appuyer sur des processus, des infrastructures et des applications numériques résilients et à la pointe de la technologie.

Mais en parallèle, elles doivent aussi se préparer à d'éventuelles perturbations afin d'y répondre de manière adéquate. Que ces bouleversements soient liés à une évolution des conditions de marché, à des technologies obsolètes ou à des menaces externes telles que les ransomwares, la résilience, nécessaire pour surmonter ces défis, est devenue l'un des indicateurs clés de performance (ICP) de la transformation numérique.

La résilience numérique dans le développement d'applications

La résilience numérique décrit la capacité des systèmes à résister et à remédier à tous types de complications. Il s’agit ici des capacités numériques nécessaires pour adapter les processus d'entreprise ou rétablir les opérations commerciales après un incident tout en s’adaptant aux nouvelles conditions - en d'autres termes, à sortir plus fort des changements et des évolutions.

La résilience numérique ne se limite pas à la sécurité. Elle inclut également l'agilité et la rapidité. Pour y parvenir, les entreprises innovantes modernisent de nombreux domaines, notamment le développement d'applications et les architectures de test. Pourquoi ? Parce que le développement continu des applications optimise considérablement la relation avec les clients et les utilisateurs et détermine ainsi le succès de l'entreprise. Il assure la résilience de l'entreprise.

Les données sont la base de la résilience

Assurer le meilleur développement d'application et donc garantir une agilité et rapidité optimale pour l'entreprise nécessite la disponibilité des données de test. Les développeurs doivent pouvoir effectuer des tests basés sur des données réelles et non sur des données fictives ou dépassées, comme c'était le cas jusqu'à présent. Toutefois, cela pose aux entreprises des problèmes de sécurité des données et de conformité. Après tout, les données sensibles et personnelles doivent être tout aussi sécurisées dans un environnement de test que dans les environnements de systèmes de production. C'est là que le masking des données, selon le principe du zero trust, entre en ligne de compte.

Ne faire confiance à personne

Le principe de zero trust, qui s’appuie sur deux règles simples - ne faire confiance à rien ni à personne et tout contrôler, permet de fournir des données de test. Une technologie de masking des données garantit l’anonymisation des données pour les protéger de toute utilisation abusive. Le masking transforme les informations sensibles en équivalents fictifs mais réalistes, tout en préservant la valeur et l'intégrité référentielle des données pour des cas d'utilisation tels que le développement et les tests. Ce n'est qu'à ce moment-là que les développeurs d'applications peuvent utiliser sans hésitation ces informations pour leurs tests. La qualité nettement supérieure des applications qui en résultent et la possibilité d'une optimisation continue sont ainsi facteurs de résilience.

Résilience grâce au masquage automatique des données

Dans le cadre de développement d'applications, la mise à disposition de données de test masquées ne peut être qu'automatisée, notamment dans le cas de volumes de données importants. En effet, les développeurs ne peuvent adapter les applications aux nouvelles exigences de manière dynamique et rapide que grâce à un flux continu de données de test actualisées. Le masking des données de test nécessaire à cet effet doit être réalisé via des solutions qui garantissent un workflow de données continu et sécurisé et qui sont précisément adaptées à cette tâche. Elles doivent permettre d’automatiser les données de test, afin d’accélérer et d’améliorer la mise sur le marché de logiciels. Cette approche aide indéniablement les entreprises dans leur quête d'une plus grande résilience et de compétitivité.