L'Atlantide résiste au raz de marée de la crise

En 2008, l'Atlantide a perdu 10% de son chiffre d'affaires par rapport à 2007 et ses profits ont fondu de 212 000 à 1 500 euros. © Photomontage JDN / Joachim Martin / Ricardo Alvès - Fotolia

Faire tourner une discothèque, Jean-Bernard Sockeel connait. Cet entrepreneur en possède trois en France. Toutes portent le même nom : l'Atlantide. Il y en a une près de Nantes, une autre à Chartres et une dernière à Sens, dans l'Yonne. Cette dernière est sans doute la plus importante. Mais leur point commun, c'est d'être de véritables usines de la danse et de la fête. Jugez plutôt pour celle de Sens : 11 pistes, 8 bars, des célébrités de la radio ou de la téléréalité en pagaille, des animations avec des sosies... il y en a pour tous les goûts et tous les âges. Mais au final l'activité est très aléatoire. En 2008, l'Atlantide de Sens a perdu 10% de son chiffre d'affaires par rapport à 2007 et ses profits ont fondu de 212 000 à 1 500 euros.

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