Le Mylord, de plus en plus riche

Perdu dans la campagne finistérienne, le Mylord n'en demeure pas moins un rendez-vous obligé des noctambules finistérien. Cette discothèque abrite en fait quatre boites de nuits différentes et autant d'ambiances qui vont du latino au disco en passant par la house. Victime de la désaffection des Français pour les boites de nuit, l'établissement a affiché un chiffre d'affaires en légère baisse ces derniers temps (1,35 million d'euros). Ce qui ne l'empêche pas de présenter un résultat net quatre fois plus élevé qu'en 2007 (109 000 euros). L'entreprise tente il est vrai de se diversifier en organisant des soirées étudiantes et même des soirées divorcés.