Le sport, un allié incontournable du cadre dirigeant

Pour être performants, les cadres doivent posséder des qualités particulières. Cela tombe bien, la pratique sportive permet de les développer.

Au-delà de la simple, mais non moins essentielle, "règle du jeu", le sport obéit à des chartes éthiques, plus ou moins strictes. Ainsi, prenons pour exemple le golf et sa devise "Jouez la balle là où elle repose, jouez le parcours tel qu’il est et si vous ne pouvez faire ni l’un ni l’autre, faites ce qui est juste"Le golfeur est invité à apprendre le self-control, la courtoisie, le respect de l’adversaire et de l’environnement ou encore la flexibilité : des aptitudes et des attitudes qui constituent autant de soft skills que l’on peut transposer dans le monde du travail. De plus, le système de calcul des points (handicap) typique du golf permet de faire une partie avec des joueurs de tous niveaux, et encourage ainsi la collaboration. Le joueur de golf sera plus enclin à maîtriser ses émotions et à faire preuve de détermination et de persévérance. La pratique du golf permet le développement de soi tout en favorisant la formation d’une personnalité forte et équilibrée.

Flexibilité, esprit de collaboration, adaptabilité, énergie, mobilité… telles seraient les principales valeurs humaines du golfeur. Il est incontestable qu’elles figurent également sur la longue liste des qualités du salarié idéal. 

Et cela, certains professionnels semblent l’avoir bien compris. Selon une étude sur le sport en entreprise menée par Goodwill Management, les cadres sont 36% à pratiquer le golf, tandis que les professions libérales sont 33% à taper la balle régulièrement. De même, les golfeurs sont, pour la plupart, des cadres supérieurs ou équivalents. Constamment soumis à la forte pression de la productivité et de la courbe du chiffre d’affaires, le salarié, peu importe son statut, doit certes faire preuve de hard skills mais la clé de la réussite réside certainement dans les soft skills. Ainsi, les KPI évaluant la performance du salarié tiennent compte du savoir-faire et du savoir-être. Les entreprises n’ont pas manqué de noter que la pratique régulière du sport augmente de 6 à 9% sa productivité. Salariés, pour performer dans l’open space, améliorez votre swing !

Si tout pousse les entreprises à encourager leurs salariés à croiser le fer sur le green, les golfeurs, par exemple, ont-ils à gagner des pratiques contemporaines du management ? Identifiée comme élément clé de la disponibilité et de la flexibilité des employés, la technologie s’est imposée comme indispensable dans le monde de l’entreprise d’aujourd’hui. Parce qu’elle booste la performance, permet une plus grande mobilité, améliore la communication au sein des équipes, nombre de ces outils high-tech que les entreprises intègrent sont également essentiels à la pratique sportive actuelle. C’est pour quoi, certains produits évaluent le rythme des entraînements et proposent un suivi de performance sans aucune entrave à la flexibilité du sportif. Ainsi, le Jabra Ladies Open s’inscrit pleinement dans cette démarche vertueuse dont l’objectif est de soutenir un échange des bonnes pratiques entre ces deux univers que sont le sport et le management.

Soumis à une pression des résultats, une attention à la performance et une compétition accrue, le sport et le management partagent des enjeux de taille. Les valeurs véhiculées par chacun forment indéniablement un socle commun à ces deux mondes, que l’on a trop souvent tendance à dissocier. Dirigeants, salariés, sportifs ont tous intérêt à valoriser le cercle vertueux de partage et d’échange qui peut allier ces deux univers. La technologie originellement développée pour l’entreprise fait définitivement le trait d’union entre le monde du travail et le sport, amateur ou de haut niveau.