SEO : Google détaille comment les demandes de réexamen sont traitées

SEO : Google détaille comment les demandes de réexamen sont traitées Le porte-parole du moteur, Matt Cutts, a détaillé toutes les réponses auxquelles un webmaster pouvait s'attendre lorsqu'il demandait à Google de reconsidérer son site. La réponse doit être apportée par le moteur en moins de deux mois, et peut être reçue en moins d'une semaine.

Après avoir révélé il y a quelques semaines quelles demandes de réexamen étaient traitées par des humains ou de manière automatique, Google donne aujourd'hui de nouveaux détails sur la façon dont les demandes de réexamen de site sont traitées. Des demandes particulièrement utiles par exemple lorsqu'un webmaster pense avoir corrigé un site pénalisé à cause d'un référencement non conforme aux consignes du moteur.

Dans une nouvelle vidéo officielle, le porte-parole du moteur de Mountain View, Matt Cutts, répond à un webmaster qui s'interroge : "Cela fait deux mois que j'ai envoyé ma demande de réexamen et je n'ai pas eu de nouvelle depuis. Est-ce normal ? Je ne peux contacter personne sur ce sujet."Matt Cutts répond que ce n'est pas normal. Il précise ensuite que l'accusé de réception officiel de Google prend moins de deux mois et peut même arriver en moins d'une semaine, si de nombreux employés du moteur s'occupent de traiter ces demandes, ce qui peut "par exemple être le cas lorsque Google envoie, via son Webmaster Tools, un nouveau type de message" a détaillé Matt Cutts. Comme ceux qui ont été envoyés l'été dernier, par exemple.  

Ensuite, il y a plusieurs types de réponses possibles. La demande de reconsidération peut être accordée, ou Google peut aussi faire comprendre qu'il reste encore du travail à faire. Un troisième type de réponse peut faire comprendre aux webmasters que la demande a bien été traitée, mais que le site pouvait avoir plusieurs problèmes et que seule une partie d'entre eux ont été visiblement réglés. Ou que la pénalité n'affecte plus la totalité du domaine, mais est devenue plus ciblée. Google peut aussi expliquer dans sa réponse ne pas avoir détecté de pénalités manuelles.